Une fourragère ?... C’est quoi ? Comment est-elle attribuée ? A qui ?
Mise à jour : septembre 2015
Il s’agit
des distinctions COLLECTIVES, les citations individuelles ne sont pas reprises
sur ces pages. Il en manque certaines ; Si vous en possédez parmi les
manquantes, vous pouvez contribuer à compléter cette page
Pour contribuer : envoyez-moi
un mail : ICI
Choisissez votre régiment :
101ème , 102ème , 103ème , 104ème , 105ème , 106ème , 107ème , 108ème , 109ème , 110ème , 111ème , 112ème , 113ème , 114ème , 115ème , 116ème , 117ème , 118ème , 119ème , 120ème , 121ème , 122ème , 123ème , 124ème , 125ème , 126ème , 127ème , 128ème , 130ème , 131ème , 132ème , 133ème , 134ème , 135ème , 136ème , 137ème , 138ème , 139ème , 140ème , 141ème , 142ème , 143ème , 144ème , 145ème , 146ème , 147ème , 148ème , 149ème , 150ème , 151ème , 152ème , 153ème , 154ème , 155ème , 156ème , 157ème , 158ème , 159ème , 160ème , 161ème , 162ème , 163ème , 164ème, 165ème , 166ème , 167ème , 168ème , 169ème , 170ème , 171ème , 172ème , 173ème , 174ème , 175ème , 176ème
Signaler une
erreur ou omission sur cette page
1
citation à l’ordre de l’armée
CITATION A L’ORDRE DE
« Unité d’élite qui a fait l’admiration de l’ennemi lui-même en Champagne et devant Verdun.
A affirmé une fois de plus sa valeur cours de récents et durs combats sous le commandement du lieutenant-colonel DE BENOIST, a opposé une résistance acharnée à la puissante poussée de l’ennemi qui avait concentré sur son front le maximum de son effort, afin de percer coûte que coûte et d’atteindre rapidement les objectifs éloignés qu’il avait choisis ; avec une abnégation et un courage magnifique, a brisé net la progression de l’ennemi en le fixant sur les positions qu’il avait reçu l’ordre de maintenir à tout prix et en lui infligeant de très lourdes pertes.
Le 8 août 1918
Signé : GOURAUD
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
OFFENSIVE DE
JUILLET 1918, SECONDE BATAILLE DE
« Du 16 au
BATAILLE DE
L'AISNE
« Très beau
régiment qui, sous le commandement énergique et l’habileté manœuvrière du
lieutenant-colonel LEPETIT, a montré pendant les combats qu’il a livrés du 25
septembre au
Le 8 octobre,
a réussi à faire un bond de
La fourragère fut
remise solennellement par le général DEBENEY, commandant la 1re Armée, le
Texte des citations ?
Texte des citations ?
3 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte, une au corps d’armée
A la date du
105e régiment d’infanterie.
“ Les 20 et
En date du
“ Régiment qui s’était déjà fait remarquer au cours de la campagne.
Les 29, 30 et
31 juillet et le 1er août 1918, sous les ordres du chef d’escadrons de
LASTIC, remplaçant le Lieutenantcolonel blessé au
début de l’action, a enlevé de haute lutte avec un merveilleux entrain, une
magnifique bravoure, une complète insouciance du danger, les objectifs qui lui
étaient assignés, repoussant pendant trois jours, malgré les tirs des
mitrailleuses et de violents bombardements, toutes les contre-attaques de
A capturé 450
prisonniers, 7 canons, 64 mitrailleuses. Les 2, 3 et 4 août en poursuivant
l’ennemi, s’est emparé du Bois Etoilé, a franchi
Le 7 octobre,
le Général FAYOLLE, commandant le groupe d’Armées, accroche la fourragère au
drapeau du 105e,
attribuée par ordre
En date du
“ Superbe et solide Régiment qui, sous l’impulsion énergique et raisonnée de son chef, le Colonel SOUCHET, au cours de deux mois d’opérations actives ininterrompues, malgré des pertes très sérieuses et sous des bombardements toxiques presque continuels, a témoigné d’une ténacité inébranlable et a conservé toute son ardeur combattive. Après avoir pris une large part à la conquête définitive du village de Vailly, s’y est organisé et a tenu tête à une attaque ennemie numériquement très supérieure.
A participé aux contre-attaques qui nous ont rendu ce point d’appui, ainsi qu’à la poursuite de l’ennemi, et a collaboré quelques heures avant sa relève, à la conquête d’un nouveau village. ”
Le 3e bataillon enlève brillamment le Bois Triangulaire, ce qui lui vaut la citation suivante à l’ordre du C.A. :
“ Le 6 septembre 1916, sous le commandement de son chef, le chef de bataillon BONNOT, a, malgré les difficultés très sérieuses et grâce à une parfaite coordination des efforts de tous, enlevé tous les objectifs assignés à son effort, faisant preuve dans cette opération des plus remarquables qualités de manœuvre réfléchie, de cohésion, d’ardeur et de bravoure.
Pendant une période consécutive de 10 jours, sous un bombardement continu, a témoigné des plus solides qualités d’endurance et de fermeté, rejetant les contre-attaques de l’ennemi et maintenant intégralement ses conquêtes ”
4 citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune, une au corps d’armée
« Est cité à
A enlevé
brillamment la pointe ouest d'une crête transformée par l'ennemi en véritable
forteresse. Ayant dû l'évacuer à la suite d'un bombardement d'artillerie lourde
des plus violents et ininterrompu pendant
Signé : Général ROQUES »
Les Eparges, avril 1915
« Les 16, 17 et 18 avril 1917, sous l'habile et énergique impulsion du LieutenantColonel GASTINEL, le 106ème a pris d'assaut une colline puissamment organisée, ainsi que toute une série de points d'appui opiniâtrement défendus, refoulant l'ennemi sur sa 3ème position et ouvrant largement la voie aux Corps voisins.
A capturé, pendant ces 3 jours de lutte acharnée 600 prisonniers, 30 canons 12 mitrailleuses, 7 minenwerfer de gros calibre et un important matériel.
Chemin des Dames, ferme Certaux
« Le 106ème
RI, sous la conduite du Lieutenant-Colonel PINTIAUX a participé du 11 août au
A libéré de nombreux villages faisant 113 prisonniers et pris à l’ennemi 2 minenwerfer, un obusier, 40 caissons de munitions et un matériel de guerre considérable".
Le Maréchal de France, Commandant en chef les Armées françaises du nord et du N.-E.
Signé : PETAIN »
« Chargé
d'accomplir une mission dans des circonstances particulièrement délicates, le
106ème R.I. a réussi après 11 jours de
luttes incessantes, du 14 au
Signé : Général DEBENEY »
Bataille de MONT-D'ORIGNY
Le
« Au cours des
6 jours de durs combats, a sous le commandement du Capitaine BOUFFET, affirmé
de nouveau ses brillantes qualités d'endurance et de ténacité, jeté dans la
bataille, après des étapes longues et pénibles et chargé de tenir une position,
a résisté jusqu'à la dernière limite aux efforts violents et répétés de
l'ennemi, infligeant à celui-ci des pertes cruelles, ne s'est retiré en
manœuvrant qu'au moment où il allait être débordé par des masses toujours plus
nombreuses de l’adversaire et après avoir épuisé toutes ses munitions, deux de
ses sections de mitrailleuses se sacrifiant pour assurer
le repli des autres éléments.
Signé Général DEBENEY »
Bataille de Montdidier, mars 1918
« A dans des
circonstances particulièrement critiques, fait preuve des plus grandes qualités
manœuvrières et d’un grand esprit de sacrifice. Au cours des journées du 27 au
Signé : Général DUPORT »
Bataille de Montdidier, mars 1918
« Sous les ordres du lieutenant FOUQUET et des sous-lieutenants MIGNON et MEUNIER, s'est conduite en troupe d'élite. Attaquée par un ennemi supérieur en nombre, a manœuvré comme sur un terrain d'exercice, traversant avec le plus grand calme des barrages d'artillerie et de mitrailleuses. Chargé de tenir un bois, a résisté jusqu'à la dernière limite ; ne s'est retirée que par ordre, déjà débordée sur un de ses flancs et manquant de munitions.
Signé : Général DE MITRY »
Bataille de Montdidier, mars 1918
« Malgré de très lourdes pertes occasionnées par un bombardement incessant d'artillerie lourde, a fourni pendant 20 jours un rendement exceptionnel dans l'organisation d'une position très délicate.
A fait preuve d'une discipline exemplaire et d'un très grand dévouement dans l'assainissement du Champ de Bataille.
Vigoureusement commandé par son Chef, le Colonel PAQUIN, a conservé un moral splendide ».
Somme, Bouchavesne, bois Madame et bois
l’Abbé, octobre 1916
Les 1ère et 3ème Compagnies furent citées à l'ordre du régiment.
Lorraine, 1918.
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
« Sous les ordres de son chef, le Lieutenant-Colonel BERTEAUX, a effectué dans des conditions particulièrement difficiles, le passage de vive force d’un fleuve ; a abordé une falaise presque verticale garnie de fil de fer et de mitrailleuses, en a culbuté les défenseurs, faisant à l’ennemi de nombreux prisonniers, prenant des canons, des mitrailleuses et un matériel important. Maître de la position, s’y est accroché pendant plus de 24 heures sous un bombardement intense et malgré de lourdes pertes, privé de toute communication avec l’arrière, les ponts ayant été détruits, a permis par son héroïque ténacité, le rétablissement des passages et l’intervention de troupes fraîches qui, élargissant ses gains, ont provoqué la déroute de l’ennemi »
« Régiment d’élite, qui depuis le début de la guerre, après avoir donné d’abord en Belgique, dans la MEUSE, sur la MARNE, la mesure de qualités admirables, après s’être signalé en Lorraine et au LABYRINTHE, dans les attaques d’ARTOIS, où la plupart de ses unités ont été citées séparément, a montré à nouveau, au cours de la période la plus violente de la lutte devant VERDUN ( Avril-Juin 1916 ), dans la bataille de la SOMME, devant la MAISONNETTE et BIACHES, en CHAMPAGNE, à NAVARIN ( 1917 ), pendant 8 mois durant en des combats incessants, en Italie sur l’ALTIPIANO, par une résistance et des attaques ininterrompues, des qualités morales de premier ordre, une discipline et une confiance à toute épreuve, une bravoure, un mordant et un esprit de sacrifice qui n’ont cessé de lui valoir partout des éloges et des témoignages d’admiration. »
?
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
« A fait preuve au cours de la bataille de la Marne, du 5 au 10 septembre 1914, d'une ténacité, d'une
vigueur et d'un esprit offensif remarquables, en contenant d'abord l'ennemi à Chatel-Raould et à
Courdemange, puis en le - contre-attaquant et en le poursuivant vigoureusement. A montré les mêmes brillantes qualités aux affaires de « Maisons-de-Champagne, du 8 au 16 mars 1917, en maintenant, malgré les furieuses contre-attaques de l'ennemi, « la possession d'une partie importante des positions conquises. Engagé sans répit dans l'offensive de Champagne d'avril 1917 a emporté, à Auberive, au prix des plus grands efforts et de pertes sévères, des objectifs opiniâtrement défendus par des troupes de choix, sur lesquelles il a affirmé sa maîtrise dans une lutte pied à pied continuée pendant plusieurs jours ». (J. O. R. F.)
Forces Françaises en Italie — Ordre Général n° 44, en date du 4 décembre 1918)
Le Général GRAZIANI Commandant le XII-Corps d'Armée et les Forces Françaises en Italie cite à l'Ordre de l'Armée :
Le 108e
Régiment d'Infanterie :
« Régiment qui, depuis le début de la guerre, a eu les journées les plus glorieuses, notamment à Chatel-Raould (septembre 1914), en Champagne (mars-avril 1917), et qui, dans les récents combats livrés dans la région d'Asiago, a montré la plus belle ardeur et a rempli intégralement les missions confiées, en infligeant à l'ennemi des pertes sensibles, capturant ou détruisant, le 11 octobre 1918, deux bataillons austro-hongrois; ouvrant, le 1er novembre 1918, sous le commandement du Lieutenant-Colonel TONNET, et de concert avec les régiments de la division, au centre de l'Altipiano, la porte par laquelle a pu se faire l 'exploitation du succès qui nous a valu près de 300 prisonniers et une centaine de canons ».
Le 4 décembre 1918,
Le Général Commandant le XIIe C. A. et les F. F. I.,
Signé : GRAZIANI.
Le Général GRAZIANI, Commandant le XIIe Corps d'Armée et les F. F. 1 cite à l'ordre du Corps d'Armée :
Le 2e
bataillon du 108e Régiment d'Infanterie :
« A soutenu, le 15 juin 1918, pendant 19 heures, une lutte très âpre, sous un bombardement violent en brisant de puissantes attaques autrichiennes et en infligeant un sanglant échec à l'ennemi.
N'a pas perdu un pouce de terrain confié à sa garde et, appuyé par des unités fraîches, a rétabli, par un vigoureux retour offensif, effectué dans le secteur de sa gauche, la liaison compromise par le fléchissement momentanée d'unités alliées voisines ».
Le 24 juin 1918, Le Général Commandant le XIIe C. A. et les F. F. I.,
Signé : GRAZIANI.
(Forces Françaises en Italie — Ordre Général n° 29, en date du 27 octobre 1918)
Le Général GRAZIANI Commandant le XIIe C. A. et les F. F. I. cite à l'ordre de l'Armée :
Le 2e
Bataillon du 108e Régiment d'Infanterie :
« Sous le Commandement du Chef de Bataillon Fargues « Marie-Henry, le 11 octobre 1918, a attaqué d'un seul élan, avec une vigueur exceptionnelle, une position ennemie puissamment organisée qu'il a entièrement conquise et où il a fait prisonniers 1 commandant de bataillon, 8 Officiers, 57 sous-Officiers, 283 soldats, ramené 7 mitrailleuses, détruit deux canons de tranchées et saisi des documents de la plus haute importance pour le commandement ».
(Cité à l'Ordre du XIIe C. A. après le 15 juin 1918)
Le 27 octobre 1918,
Le Général Commandant le XIIe C. A. et les F. F. I., signé : GRAZIANI.
Ordre Général du Corps d'Armée no 325 du 5 avril 1917
Le Général Commandant le XIIe Corps d'Armée cite à l'ordre du Corps d'Armée :
La 5e
Compagnie du 108e Régiment d'Infanterie :
« Sous les ordres du Capitaine NEUVILLE, blessé mortellement puis du Lieutenant BELLANDO, à la suite de combats meurtriers, l'ennemi ayant ouvert une brèche dans notre ligne, a attaqué avec une énergie farouche ; ramenée en arrière par des pertes sensibles, a contre-attaqué et finalement a rempli sa mission de liaison, après un combat à la grenade particulièrement meurtrier ».
Le 5 avril 1917,
Le Général Commandant le XIIe Corps d'Armée,
Signé : NOURRISSON.
(Ordre Général n° 121)
Le Général Commandant la 24e division cite à l'ordre de la Division :
La 11e Compagnie du 108e Régiment d'Infanterie :
« Sous le commandement du Lieutenant CARRASSE, affectée à la garnison d'un ouvrage reconquis sur l'ennemi, y a tenu quatre jours et quatre nuits, sous le plus violent bombardement, remplissant intégralement sa mission, sous les attaques répétées d'un ennemi en forces, réagissant elle-même en attaquant et laissant sur le terrain, deux Chefs de section, tous ses sous-officiers (sauf un) et les deux tiers de son effectif ».
Le 25 mars 1917, Le Général Commandant la 24e D. I,
Signé : MORDACQ.
Le Colonel Commandant l'Infanterie de la 24e division cite à l'ordre de la Brigade :
La 6e
Compagnie du 108e Régiment d'Infanterie :
« La 6e Compagnie, sous les ordres du Sous-Lieutenant TESSERON, secondé par le sous-Lieutenant
Baptiste, chargée le 12 mars 1917, d'un point d'appui important du champ de bataille, a résisté
victorieusement à trois attaques consécutives et excessivement violentes de l'ennemi ; a contre-attaqué, est parvenue à gagner du terrain.
Attaquée de nouveau dans la même journée, a résisté à toutes les tentatives de l'ennemi ».
La 1re section de la 3e Compagnie du 108° Régiment d'Infanterie :
« Le 8 mars 1917, a conquis, sous le commandement du sous-lieutenant BONNEVIALLE, un élément de tranchée ennemie dans un point particulièrement important ; y a capturé 19 prisonniers, y a établi une barricade, et, pendant deux jours et deux nuits, y a lutté en perdant près de la moitié de son effectif.
Le 27 mars 1918,
Le Général Commandant l'I D. /24, signé : ODRY.
4 citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
Le 2 octobre, le 109 est félicité par le Général MAISTRE, Commandant le 21e Corps d'Armée pour la belle ardeur et le magnifique héroïsme dont il a fait preuve au cours des derniers combats et reçoit la citation suivante :
« Régiment qui, sous le commandement du Lieutenant-Colonel DELESTRE, blessé le 3e jour, a donné le plus magnifique exemple d'allant, d'héroïsme et de ténacité, combattant victorieusement à l'avant-garde de la brigade pendant 5 jours, faisant tomber d'un seul élan les formidables défenses accumulées par l'ennemi devant Souchez et qui, malgré des pertes extrêmement élevées, s'était lancé, le soir du 5e jour, sous le commandement du Commandant BOREAU de ROINCE dans un ouvrage formant réduit de la défense ennemie aux cris de : Vengeons nos morts. »
Artois, bois en Hache, Givenchy, septembre 1915
Le 13 novembre, le Général MAISTRE remet au 109 sa deuxième citation à l'ordre de l'Armée :
« Le 109e RI, sous l'ardente et habile
impulsion de ses chefs, le Lieutenant-Colonel BOREAU de ROINCE, puis le
Lieutenant-Colonel RANDIER, s'est, au cours de la période du
Les 15, 16, 17
et 18 septembre, alliant une ardeur opiniâtre à une habileté manœuvrière
remarquable, a réalisé pied à pied l'encerclement du parc et du village de Deniécourt. Malgré les fatigues et les intempéries, a
immédiatement préparé de nouvelles attaques et le
A fait plus de 400 prisonniers, pris un nombreux matériel, parmi lequel deux canons de campagne. »
Le 109e reçoit la fourragère aux couleurs de
« Régiment
animé au plus, haut point de l'esprit de devoir et de sacrifice. Le
« Régiment qui, dans les combats de mai et juin 1918, s'est montré digne de sa glorieuse réputation par son courage inlassable, son abnégation et son esprit de sacrifice. Sous les ordres de son chef, le Lieutenant-Colonel RANDIER, a pu, malgré des perles sensibles, arrêter la ruée ennemie sur des ponts, permettant ainsi aux autres corps de la Division d'organiser la défense pied à pied et barrer l'accès d'une rivière aux Allemands.
Pendant cinq jours de combats acharnés et malgré une pression ennemie formidable, a rempli sa mission avec le plus pur héroïsme.
A fait preuve également, lors de la dernière ruée allemande, d'une abnégation hors de pair, arrêtant net l'ennemi et lui infligeant les pertes les plus élevées. A repris de haute lutte, les jours suivants, à la suite de combats opiniâtres, la plus grande partie du terrain, cédé volontairement pour des raisons tactiques, faisant de nombreux prisonniers et s'emparant de mitrailleuses et de matériel.»
Le 1er bataillon, commandé par 1e Capitaine ROUSSOTTE, attaque et s'empare du Château de Vermelles et est cité à l'ordre de l'Armée :
« S'est
particulièrement distingué à l'attaque du Château de Vermelles, qu'il a
courageusement enlevé avec un entrain et une bravoure admirable. »
Artois, Vermelles, novembre 1914
les 10e et 12e Compagnies sont citées à l'ordre de l'Armée :
« Pour la
bravoure qu'elles ont manifestée pendant la période du 9 au
Artois, fosse 5 de Béthune
Les 1re et 4e Compagnnies reçoivent une citation à l'ordre de l'Armée, avec le motif suivant :
« Le 15 Avril,
ont exécuté, avec une ardeur et une bravoure hors de pair, une attaque dirigée
contre des tranchées allemandes très fortement organisées, s'en sont
brillamment emparées en y faisant de nombreux prisonniers et en ont maintenu la
possession, malgré trois vigoureuses contre-attaques et un bombardement d'une
extrême violence.»
Artois, Notre-Dame-de-Lorette, Grand Eperon et position dite de l’ «Y », avril 1915
Les sections de grenadiers reçoivent une citation à l'ordre de l'Armée, avec le motif suivant :
« Le 15 avril,
ont exécuté, avec une ardeur et une bravoure hors de pair, une attaque dirigée
contre des tranchées allemandes très fortement organisées, s'en sont
brillamment emparées en y faisant de nombreux prisonniers et en ont maintenu la
possession, malgré trois vigoureuses contre-attaques et un bombardement d'une
extrême violence»
Artois, Notre-Dame-de-Lorette, Grand Eperon et position dite de l’ «Y », avril 1915
Texte des citations ?
le
111e RI fut l’un des rares régiments d’active n’ayant pas obtenu de
citations,
certainement
dû à sa dissolution après l’affaire du
4 citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune, une au corps d’armée
Le Général commandant la 2e Armée
cite à l’ordre de l’Armée le 112e
RI :
« Le
O.G. 573 – 2e Armée,
le 5/1/1917.
Le Général commandant
Décision du général
commandant en chef du
Ordre du
« Exalté par son ardent
chef de corps, le lieutenant-colonel de Gail, le 112° R.I. a, le
Ensuite, pendant plusieurs
jours, il a non seulement conservé et organisé le terrain conquis, mais encore
harcelé sans cesse l’ennemi par ses patrouilles audacieuses et une ténacité
égales à son enthousiasme et à son élan. Régiment superbe d’allure et de bravoure
déjà cité le
Verdun,
Côte du Talou
La fourragère,
méritée par les deux citations à l’ordre de l’Armée, fut remise au 112e par le
général Pétain, commandant en chef, le
Le général Debeney,
commandant la 1ère Armée, cite à l’ordre de l’Armée le 112e R.I.
:
« Régiment d’un allant
et d’un mordant légendaires.
Pendant les journées du 9 au
Le 10 et le
A capturé, pendant cette
période, 10 officiers dont 1 chef de bataillon, plus de 450 hommes, 60
mitrailleuses, 11 canons, 4 minenwerfers et un matériel considérable. »
Décision du général
commandant en chef du
Le 15 novembre, enfin, le général Debeney le cite à l’ordre de l’Armée en ces termes magnifiques :
« Superbe troupe d’attaque. Sous le
commandement du colonel de France, chef éclairé, homme de devoir accompli, doué
d’un sang-froid imperturbable, toujours au contact immédiat de ses unités de
première ligne, vient, les 17 et
A capturé plus de 100 prisonniers, dont 27 officiers, 2 batteries d’artillerie, plus de 100 mitrailleuses, un grand nombre de minenwerfer et une quantité considérable d’armes, de munitions et de matériel de toute nature. »
C’est en
Alsace reconquise, dans la région de Strasbourg, que le général Gouraud,
commandant
Les vainqueurs
de Vassincourt, de
Le régiment fut cité à l’ordre du C.A. dans ces termes :
« Le 112°
R.I., entré tout entier et de nuit dans la bataille, dès son arrivée dans la
région le
Verdun, Le Mort-Homme
2 citations à l’ordre de l’armée, une au corps d’armée, fourragère verte
« Régiment très solide qui s’est particulièrement distingué dans les luttes ininterrompues de l’Argonne, devant Verdun et dans les combats de l’Aisne. Désigné pour barrer la route à l'ennemi et le rejeter dans une brusque contre-attaque, a, sous les ordres de son chef, le lieutenant-colonel Roullet, rempli glorieusement sa mission.
S’est lancé à l'attaque avec entrain, dans des circonstances particulièrement difficiles et a abordé tous ses objectifs avec mépris du danger. Après avoir résisté à plusieurs poussées d'un ennemi supérieur en nombre, s'est cramponné au terrain qu’il a défendu avec opiniâtreté, combattant trois journées sans le moindre répit, avec un moral qui n’a jamais été entamé ».
Abbécourt, Oise, mars 1918
« Le 113ème, sous le commandement du
lieutenant-colonel Roullet, a remporté un brillant
succès au cours des dernières opérations sur l’Aisne. Les 15 et
A fait plus de 400 prisonniers et capturé de nombreuses mitrailleuses et un important matériel »
Décision du
général commandant en chef du
LE 19 DÉCEMBRE 1918 – Le général Debeney commandant la 1ère Armée, remet la fourragère au drapeau du 113ème, à Chaumont-Porcien.
Le 3ème bataillon du 113ème est cité à l'Ordre du Corps d'Armée avec le motif suivant :
« 3ème bataillon du 113ème R.I., a donné de très beaux exemples d'entrain, de bravoure et d'esprit de sacrifice.
Le
Bois des Boches, secteur de Juvincourt, Aisne, avril 1917
3 citations à l’ordre de l’armée, une au corps d’armée, fourragère verte
Verdun, cote 304, mai 1916
Texte de
Le Général
Mangin citait en ces termes le 114 à l’ordre de
« Le 114ème régiment d’infanterie, sous les ordres du Colonel Bertrand, s’est porté à l’assaut des positions ennemies avec un élan admirable : trouvant devant lui un village presque entièrement occupé par l’ennemi, il l’a pris à la suite de combats opiniâtres… »
combats de Belloy, Somme, juin 1918
Texte entier ?
Aussi la fourragère si simple et si modeste que le régiment porte depuis cette bataille a pour ces soldats une valeur dont ils sont seuls à connaître le prix :
« Le vert est le vert inoubliable des blés du 11 juin,
Le rouge est celui du sang si pur qui les a teints… »
Texte ?
Bataille d’Ypres, novembre 1914
Texte ?
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte, une au corps d’armée
Le général commandant
LE 115ème RÉGIMENT D'INFANTERIE
« Sous les ordres du
lieutenant-colonel LETONDOT, attaqué sur des positions encore « incomplètement
organisées par un ennemi trois fois supérieur en nombre, et pris à revers sur
sa « gauche, a résisté avec énergie, luttant pied à pied pour conserver la
position qui lui était confiée. Rejeté sur un village important de sa ligne
formant réduit, s'y est cramponné autour de son chef, « forçant l'ennemi à
conquérir ce réduit maison par maison en lui infligeant de fortes pertes.
Ne s'est replié que par ordre, ayant arrêté l'ennemi pendant plus de dix heures d'un combat « acharné. »
Châtillon-sur-Marne, bois de Rarey, juillet
1918
115ème REGIMENT D'INFANTERIE
« Sous les ordres du
lieutenant-colonel LAURENT, lancé à la poursuite de l'ennemi le 26 « septembre
1918 n'a plus lâché sa proie. Traversant des terrains bouleversés, forçant les
passages de
A libéré sur le territoire
national une profondeur de plus de
A fait des prisonniers, pris des canons, des mitrailleuses et un matériel considérable.
Et, le
Le Général Commandant
Cite à l’ordre de l’armée
LE 1er BATAILLON DU 115ème REGIMENT D’INFANTERIE
« Après s'être déjà illustré
au Téton en mai 1917 sous les ordres de son chef le commandant « LEMAIRE qui a
su communiquer à sa troupe son activité, sa flamme, et sa tenace volonté, le 1er bataillon du 115ème RI. A enlevé de haute lutte, le
Pris à partie le lendemain
par une concentration d'artillerie écrasante, a repoussé trois fois « l'ennemi
des positions nouvellement conquises. Ramené légèrement par une quatrième
contre-attaque « particulièrement puissante a trouvé en lui, malgré les pertes
subies, des ressources d'élan nécessaires « pour reprendre en liaison avec les
troupes de renfort et finalement pour garder tous les objectifs «
assignés. »
Au QG., 1er août 1917.
Le général commandant
Signé : GOURAUD.
Mont Blond, Champagne, juillet 1917
Le Général Commandant le 17ème Corps d’armée
Cite à l’ordre du corps
d’armée
LE 115ème REGIMENT D’INFANTERIE
« Animé d'un bel esprit
offensif par l'exemple de son chef, le lieutenant-colonel KIEFFER, a eu «
pendant 25 jours (1er au
Au QG., le
Signé : HENRYS.
Moronvillers, Champagne
« Le
DAMIRON et DURIS s'est avec un bel ensemble superbement comporté lors de l'émission (le liquides enflammés de l'ennemi, s'est opposée à la sortie des Allemands par un feu bien ajusté et malgré des pertes sensibles a supporté sans défaillance un bombardement qui dura toute la nuit. A vu son chef sérieusement blessé. »
Telle est la citation à l'ordre de la 8ème division de la 4ème section de la 6ème compagnie. Elle enregistre le 1er succès du régiment dans un secteur qu'il vient d'occuper.
Massiges, Marne
On se bat encore le surlendemain, ainsi que le témoigne la citation à l'Ordre de la 8ème division d'infanterie, accordée à la 4ème section de la 10ème compagnie, pour avoir :
A résisté le
Massiges, Marne
La 1ère section de la 3ème compagnie de mitrailleuses une citation collective à l'ordre de la 8ème I.,
Les Marquises, ouvrage du Monstre, secteur est de Reims
La 11ème compagnie effectue avec un plein succès, un coup de main sur l’ouvrage du Monstre.
Elle est citée à l’ordre de la 8ème DI.
« Unité
d'élite qui, sous la vigoureuse impulsion de son chef le capitaine RENAUDIN, le
Les Marquises, secteur est de Reims
La
3ème section de cette
compagnie est citée en ces termes à l'ordre du régiment :
« Le 25 septembre s'est
portée en avant sans hésiter malgré les pertes sérieuses que lui causèrent les
mitrailleuses ennemies, pour soutenir les fractions très éprouvées de notre
régiment.»
Champagne, saillant « F », sept. 1915
« S'est particulièrement
distinguée, dans la nuit du 10 au 11 octobre, en plaçant un réseau des défenses
accessoires en terrain découvert à vingt mètres des Allemands, et en
accomplissant sa mission jusqu'au bout avec le plus profond mépris des coups
ennemis qui cependant lui causèrent 30% de pertes.
Epine de
Védégrange, Marne, octobre 1915
La 1ère section
de la 2ème compagnie de mitrailleuses une citation à
l'ordre du régiment.
Les Marquises, ouvrage du Monstre, secteur est de Reims
4
citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
Quelques jours
après, le 116e R.
I. est cité à l’ordre de l’armée, avec le motif suivant :
ORDRE GENERAL N° 1
Après approbation du Général commandant en chef, le Général de Castelneau, commandant le groupe d’armées du Centre, cite à l’ordre des armées : le 22e D. I. d’infanterie, comprenant les 19e, 62e, 116e, et 118e R. I.
« A, le
Signé : De-Castelneau.
Champagne, septembre 1915
« Beau régiment, plein d’élan, d’un mordant remarquable, sous l’impulsion énergique de son chef, le colonel Arnoux, à, pendant 4 jours, sans répit, malgré sa fatigue, ses pertes, la résistance acharnée et les réactions violentes de l’ennemi, poursuivi la conquête de ses objectifs avec une ténacité admirable, les a atteints et s’y est maintenu. A fait plus de 400 prisonniers et s’est emparé d’une trentaine de mitrailleuses. »
Le général
commandant
Signé : Degoutte.
Une prise
d’armes, au cours de laquelle le Général Gouraud remet, le
« Superbe
régiment, admirable par sa bravoure et son endurance : Au cours des 5 journées
de bataille du 29 septembre au
A atteint tous ses objectifs, capturant, dans une avance superbe : 425 prisonniers dont 11 officiers, une cinquantaine de mitrailleuses, une batterie de 77 enlevée de haute lutte et un important matériel. A, malgré ses pertes et ses fatigues, repoussé de nombreuses et violentes contre-attaques, infligeant de lourdes pertes à l’ennemi et maintenant intégralement les positions conquises. »
« Le
A capturé 150 prisonniers, une cinquantaine de mitrailleuses, un canon de 77 anti-tancks. Malgré la fatigue des journées précédentes, les pertes éprouvées, les efforts répétés de l’adversaire pour lui reprendre ses conquêtes, s’est maintenu victorieusement sur la position conquise. »
Le 28
décembre, le général Maistre, commandant le groupe d’armées centre, remet au
Drapeau du 116e la
fourragère aux couleurs de
« Le 1er bataillon du 116e régiment d’infanterie, sous la conduite de son chef, le commandant Cremière, pendant 20 jours, sous un feu presque continu et en dépit des pluies torrentielles, a su organiser et défendre un secteur ménagé par les travaux d’approche de l’ennemi. Violemment attaqué, après une préparation d’artillerie de gros calibre qui avait bouleversé ses travaux et enseveli nombre de ses défenseurs, est néanmoins resté accroché àsa position, et, par ses contre-attaques énergiques et contenues a permis à nos renforts de rétablir intégralement nos lignes. »
combats du Fayet, Somme, août 1916
« La 10e compagnie du 116e régiment d’infanterie, sous la conduite de son chef (lieutenant Le Bihan), a mené, pendant toute la journée du 10 août, une brillante contre-attaque, progressant pied à pied à la grenade, au prix des plus grands sacrifices. En dépit des plus violents bombardements, a réussi à s’emparer d’un point d’appui qui a permis à notre contre-attaque du 11 de rétablir intégralement notre ligne. A pris un lance bombes.
combats du Fayet, Somme, août 1916
« La 4e section de la 14e C. M. du 116e R. I a, sous le commandement du sergent Boussenard, ouvert le feu dès le déclanchement d’une attaque ennemie accompagnée d’un puissant tir de minenwerfers ; A arrêté l’ennemi dans son champ de tir et continué à tirer, jusqu’à ce qu’une pièce fut détruite et l’autre enterrée. Le chef de section gravement blessé, 4 servants tués et deux blessés. Le matériel au complet, pièces et caisses, a été déterré et ramené par les deux seuls survivants valides : les soldats Fonfrède et Bodecot. »
combats du Fayet, Somme, août 1916
Le général de Maudhuy, commandant le XIe C. A., vient décorer le Drapeau de la croix de guerre pour la citation suivante à l’ordre du XIe C. A.
« Désigné par
le sort pour quitter le XIe C. A. y laisse des souvenirs d’héroïsme et une
gloire acquise à Maissin, à
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte, une au corps d’armée
"Unité
remarquable par sa cohésion, sa discipline, sa tenue. Attaquée sur des organisations
à peine ébauchées par un ennemi trois fois supérieur en nombre et enfoncée sur
sa droite, s'est accrochée avec une énergie farouche, électrisée par la
bravoure de son chef, le lieutenant-colonel VÉRIGNON, au réduit qui lui était
confié, contre-attaquant avec vigueur pour reprendre sa ligne. Ne s'est repliée
que sur son ordre, couvrant le repli des troupes voisines, arrêtant l'ennemi
pendant plus de quatorze heures de combats acharnés ; lui infligé de fortes
pertes et lui a fait des prisonniers."
Châtillon sur Marne, Montigny, juillet 1918
A l'Ordre de
l'Armée (
"Le 117e Régiment d'Infanterie, sous les
ordres du lieutenant-colonel VÉRIGNON, lancé à l'attaque le
A Charleville
(novembre 1918), où le glorieux drapeau du 117e reçut, en décembre, des mains du
général DEBENEY, la fourragère que venait de lui décerner le Maréchal de
France, commandant en chef.
citation à
l'Ordre de l'Armée (
"Unités
d'élite, qui, sous la vigoureuse et intelligente impulsion du lieutenant
CAPITAN, commandant la 2e compagnie, et du sous-lieutenant BOUVIER, ont, le
Les Marquises, Saillant Vidalet, Marne
Le
" Sous
les ordres du capitaine BOUVIER, qui, parti comme soldat de 2e classe au début de la campagne, a su inspirer à ses hommes les
sentiments de cœur, de bravoure et de discipline dont il est animé, s'est porté
d'un seul élan, le
citation à
l'Ordre de l'Armée (
"Unités
d'élite, qui, sous la vigoureuse et intelligente impulsion du lieutenant
CAPITAN, commandant la 2e compagnie, et du sous-lieutenant BOUVIER, ont, le
Les Marquises, Saillant Vidalet, Marne
Peu de temps
après, le 117e est,
pour ces combats, cité à l'Ordre du Corps d'Armée (
"Sous
l'ardente impulsion de son chef, le colonel PAGEOT, a mené de front pendant 25
jours (2-
Malgré les fatigues et les pertes, a pris l'offensive le 20 mai, enlevé d'un seul élan, en dépit d'une résistance acharnée, la totalité de l'objectif
qui lui était assigné, s'y est organisé et maintenu au cours des journées suivantes devant de violentes contre-attaques et une réaction d'artillerie croissante."
Le Casque, Marne, mai 1917
Texte des citations ?
Texte
des citations ?
1ère citation du régiment à l’ordre de l’armée
Le 25 juillet 17, le régiment était cité à l’ordre du corps d’armée dans les termes suivants.
« Régiment d’élite qui s’était déjà distingué en Artois, à Verdun et à Bezonveaux. Ayant été durement éprouvé en juin 1917, a montré moins d’un mois plus tard, sous le commandement du lieutenant-colonel Malvy, un magnifique héroïsme et un splendide esprit offensif en soutenant, pendant sept jours consécutifs, des combats acharnés au cours desquels il a repoussé toutes les attaques ennemies et même avec un entrain superbe, dans un terrain particulièrement fortifié, deux attaques en terrain libre qui lui ont permis de reprendre aux Allemands une grande partie du terrain que ceux-ci nous avaient enlevé avant son entrée en secteur. »
Une de ces petites opérations sur le saillant du Moulin de Tous-Vents valut à la 3eme compagnie la citation suivante à l’ordre du 3eme corps d’armée :
« Chargée, le 5 novembre 1917, d’attaquer une tranchée ennemie située à un saillant particulièrement fort, s’est portée vivement à l’assaut malgré des feux violents d’artillerie et de mitrailleuses. A accomplit avec précision, dans le temps voulu toute la mission qui lui a été confiée, a ramené un prisonnier, du matériel, détruit des abris, repoussé une contre-attaque. »
le 1er bataillon du 119eme fut cité à l’ordre de la IIIeme armée numéros 493, du 23 août 1918, dans les termes suivants :
« Bataillon de premier ordre qui, depuis le début de la campagne s’est distingué dans tous les combats ou il a été engagé. Le 9 juillet 1918, sous le commandement du chef de bataillon Bédoura, s’est élancé brillamment à l’assaut, a atteint d’un seul bond les objectifs qui lui étaient assignés, capturant 5 officiers, 135 hommes, 13 mitrailleuses et 3 minenwerfer. »
Le 3 octobre 1918, il était cité à l’ordre de la IIIème armée dans les termes suivants :
« Régiment d’élite. Le 10 août 1918, sous les ordres du lieutenant-colonel Malvy, a enlevé
d’un seul élan tous les objectifs qui lui étaient assignés, les a dépassés, progressant de plus
de dix kilomètres dans la même journée, s’emparent successivement de six villages fortement
organisés. Du 11 au 22 août, a encore progressé de cinq kilomètres, enlevant dans une lutte
acharnée trois localités et une position fortement défendue. A capturé 262 prisonniers, des
canons, de nombreuses mitrailleuses et un important matériel. »
Déjà, le 3 septembre 1918, la citation ci-après, à l’ordre du 34ème corps d’armée, avait
récompensé le peloton de canons d’accompagnement de son effort splendide pendant les
glorieuses journées du Matz : « Pendant les combats qui se sont déroulés du 10 au 22 août
1918, a constamment fait preuve d’énergie, de bravoure et d’entrain. Servant avec
opportunité les pièces chargées d’accompagner les attaques, a brillamment rempli son rôle,
aidé puissamment à la réduction des résistances, se mettant même en batterie à cinquante
mètres des mitrailleuses ennemies, tirant au total 900 obus et conservant jusqu’à la dernière
heure son matériel en parfait état d’entretien. »
cordialement
Paul Badré
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
Le 120e régiment d'infanterie, sous le commandement du lieutenant-colonel GIRARD, a fait preuve de la plus magnifique bravoure dans les journées du 28 février et du 1er mars.
« A brillamment enlevé une position allemande dont il a poursuivi les défenseurs, la baïonnette dans les reins.
A résisté pendant trois jours à des contre-attaques incessantes, fait de nombreux prisonniers et infligé aux meilleures troupes ennemies des pertes considérables. En outre, sont cités individuellement à l'ordre de l'Armée :
Le lieutenant-colonel, le commandant LETELLIER, le commandant PUCHOIS, le commandant THIRY (excellent chef de bataillon, ayant un ascendant considérable sur ses officiers et sur sa troupe, d'une grande bravoure, d'un calme admirable, homme de décision.
Est tombé au champ d'honneur au moment où il dictait ses ordres, en vue d'un assaut qui a réussi au-delà de toute espérance, ses hommes ayant à cœur de venger sa mort.
Le capitaine. PRINTEMPS, les sous-lieutenants PELLETIER, MASCRÉ, .SAINT-RÉMY, GlRARDEAU, GAUDROT, BOURDON, DUBUS, l'adjudant NICOLAS, le sergent RENARD.
Le soldat GAGNARD, blessé à quatre reprises différentes, s'est fait panser, Puis a refusé de quitter le front. A fait preuve, à maintes reprises, de hardiesse et d'initiative intelligente. »
Champagne, secteur des Hurlus, septembre et octobre 1915
plus de 1.700 hommes hors combat
« Superbe
Régiment, qui a déjà fait preuve de son mordant dans l'attaque, et de sa
ténacité dans la défense au combat de Bellefontaine, le
Sous le
commandement du Lieutenant-Colonel SALLES, s'est de nouveau distingué, d'abord
au cours de l'offensive de juillet-août 1918, sur
1er bataillon :
« Sous
les ordres du chef de bataillon RICHARD, le
Berny-en-Santerre, Somme, septembre 1916
La 3e compagnie est citée à l'ordre de l'Armée (Woëvre)
Citation ?
« Le
Perthes-lès-Hurlus, Marne, octobre 1915
« A
attaqué, avec un élan et une bravoure admirables, sous un feu violent de
mitrailleuses, une localité fortement organisée, l'a occupée partiellement, a
repoussé deux contre-attaques ennemies en leur faisant subir de lourdes pertes
et, malgré sa situation critique, presque entièrement entouré par l'adversaire,
ne s'est retirée sur une position de repli que sur ordre, en combattant, après
avoir perdu son Chef, un officier et les deux tiers de son effectif. »
Berny-en-Santerre, Somme, septembre 1916
« Le
La 9e escouade de la 5e compagnie, placée sous les ordres du Caporal DAUCOISNE, réduite à trois hommes, par suite du départ de sept blessés, a fait preuve d'énergie et de volonté en demeurant courageusement à son poste sous des feux croisés de grenades et de fusil.
Les Eparges, août 1915 »
« Le
Secteur du fort de Souville, Verdun, avril 1915
Texte des citations ?
2
citations à l’ordre de l’armée, 1 à la division, fourragère verte
Le 122ème fut cité par le général Guillaumat, à l’ordre n° 900 de
« Chargé d’enlever deux
importantes positions, sur un front de
A la date du
« Beau régiment. Sous
l’impulsion ardente de son chef, le colonel Gracy,
n’a cessé de faire preuve du plus bel allant et de l’esprit offensif le plus
accentué. Le
A donné de nouvelles preuves
de sa valeur du 3 septembre au
Le maréchal de France,
commandant en chef les armées françaises de l’Est, par ordre n°
Le
3ème bataillon du 122ème régiment d'infanterie :
A l'ordre n° 346 de
Le général commandant
« Sous l'énergique et habile
impulsion du chef de bataillon Michel dont l'action personnelle se fit
constamment sentir au cours des opérations, le 3ème bataillon du 122ème régiment d’infanterie n’a cessé, durant les
combats du
Imposant constamment sa
volonté à un ennemi qui avait mission de résister à outrance, a brillamment
poussé l’attaque sur un front de
cité à l’ordre n° 347, du
« Le général commandant
A sous l’impulsion ardente
du chef de bataillon Van Boxsom et pendant la période
du 12 au
Les
9ème, 11ème compagnies et le 1er peloton de la 3ème compagnie de
mitrailleuses :
cités à l’ordre n° 233 du 16ème corps d’armée, du
« Dans la nuit du 18 au 19
mars et dans la journée du
bois d’Avocourt, Verdun, mars 1917
Le 122ème a été cité à l’ordre de la division : dans les termes suivants :
« Le général de Cadoudal
cite à l’ordre n° 189, de la 31ème division d’infanterie
du
A fait preuve dans ces
circonstances d’une ténacité et d’une endurance remarquables. »
Verdun, août 1916
« Le général commandant la
31ème division cite à l’ordre de la division : la 7ème compagnie du 122ème régiment d’infanterie pour avoir, pendant une
violente attaque allemande, maintenu, dans des conditions difficiles,
l’occupation de ses tranchées, et avoir repoussé l’assaillant en lui infligeant
des pertes considérables. »
Quartier général, le
Belgique,
novembre 1914
Etaient cités à l’ordre du
régiment, n° 384, du 1er octobre 1917 :
La
2ème compagnie du 122ème régiment d’infanterie :
« Au cours du combat du
« Le
Au cours de ces opérations,
a brûlé 65 000 cartouches de Hotchkiss et 15 000
cartouches Maxim ; a pris six mitrailleuses à l’ennemi.
la
2ème compagnie de mitrailleuses :
par ordre n° 557, le colonel
cite à l’ordre du régiment
« Compagnie d’élite qui a
fait preuve pendant les affaires de l’Ailette et de la Serre des plus belles
qualités militaires, notamment dans la période du 12 au
« Chargé d’une mission
de reconnaissance le
S’est maintenue sur la
position conquise, à
D’autre part, par ordre n°
557, le colonel cite à l’ordre du régiment :
« Unité d’élite, qui dans
les combats du
« Pendant la contre-attaque
allemande du
« Le
Le 19 octobre, sur
« Belle unité qui a toujours
accompli les missions qui lui étaient confiées, avec une haute connaissance de
ses devoirs, conservant son allant et son moral, même dans les circonstances
critiques. S’est particulièrement distinguée, le
3 citations à l’ordre de l’armée, 1 au corps d’armée, fourragère verte
LE 123e RÉGIMENT D’INFANTERIE
Sous les ordres du commandant Nodiom, appelé la veille de l’attaque au commandement du régiment, a pris un secteur en plein combat, l’a nettement élargi et amélioré. Après avoir victorieusement résisté, du 21 avril au 4 mai, à de multiples contre-attaques, est passé le 5 à l’offensive et a brillamment enlevé tes objectifs assignés, réduisant un à un tous les centres de résistance;
a, en collaboration avec un régiment voisin, fait plus de 800
prisonniers et capturé un nombreux matériel de guerre dont
14 mitrailleuses, 8 minenwerfer et 6 canons de tranchée
Vauclerc, Chemin des Dames, 1917
A l’ordre de
la l’Armée, datée du
Régiment
manœuvrier et plein d’ardeur, sous les ordres du lieutenant
colonel Rouchon; après avoir, les 17 et 18
octobre, forcé le passage d’un cours d’eau marécageux dans des conditions
particulièrement difficiles, a mené la poursuite avec vigueur et ténacité. Le 24 octobre, franchissant à la cisaille de
forts réseaux barbelés sous un feu intense de mitrailleuses et d’artillerie, a
réussi, dans un assaut brillant allant jusqu’au corps à corps, à enlever une
position fortement défendue; puis, par des attaques répétées, a bousculé
l’ennemi sur une profondeur de plus de
Fourragère aux
couleurs du ruban de
L’ordre n° 150
« F » confère au 123e
L’ensemble de ces brillantes opérations, réussies avec des pertes légères, valut au 123e R. I. une citation à l’ordre du corps d’armée :
Sous les
ordres du lieutenant colonel Rouchon,
a, du 25 août au 15 septembre, chassé l’ennemi sur
Signé : NOLLET, Commandant le 36e C. A.
Le 123e était alors titulaire de cinq citations (deux citations à
l’ordre de l’Armée, trois citations à l’ordre du corps d’armée).
Par ordre du maréchal commandant en chef en date du
LE 123e RÉGIMENT D’INFANTERIE
Régiment connu
par son entrain superbe et sa magnifique tenue au feu. Intervenant dans la bataille
dans la soirée du
Signé : HUMBERT.
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte, une au corps d’armée, une à la division
Ordre N° 1332
de la 4ème Armée
« Sous le
commandement du colonel Birot, chef accompli, doué
des plus réelles vertus militaires, a affirmé, une fois de plus, ses belles
qualités combatives au cours de dures journées ; soumis à un bombardement
d'artillerie de longue durée et d'une violence inouïe puis attaqué, sans aucun
répit, par des forces puissantes, plusieurs fois supérieures en nombre et
résolues à percer coûte que coûte, a résisté avec un acharnement et une
abnégation héroïque à la poussée de l'ennemi et, par une brillante défense et
de furieuses contre-attaques, maintenu dans leur intégralité les positions
qu'il avait reçu l'ordre de conserver à tout prix. Déjà cité à l'ordre de
Signé : GOURAUD.
Offensive de Champagne (juillet 1918)
Ordre N° 1476 de la 4ème Armée.
« Jeté
brusquement dans la bataille sous les ordres du colonel Birot
du 4 au
Signé : GOURAUD.
Orfeuil (octobre 1918)
Texte ?
Ordre N° 211 du 14ème C. A.
« Magnifique régiment, modeste autant que brave.
Le 1er novembre 1918, sous les ordres du
commandant de Kerguenec, jeté de nouveau dans la
bataille après un mois de durs combats au cours desquels son colonel avait été
mortellement blessé, il franchit dans des conditions particulièrement
difficiles l'Aisne débordée et, d'un seul élan, enlève le village de Voncq,
véritable « nid d'aigles » et s'empare de haute lutte de Semuy,
réalisant ainsi une progression de
Signé : MARJOULET
Voncq (novembre 1918)
Ordre N° 118 de la 124ème D. I.
« Le 124ème Régiment d'infanterie, dans le secteur du Casque et du Téton, a largement contribué, le 27 mai 1917, à repousser les attaques d'un ennemi acharné et supérieur en nombre ; Sous les ordres du lieutenant-colonel Birot a continué à donner, comme il le fit déjà en Champagne et à Verdun, de nouvelles preuves de discipline, de courage, a travaillé avec acharnement à l'aménagement des positions qu'il a ensuite brillamment défendues le 31 Mai 1917, repoussant sous les plus violents bombardements quatre attaques successives, infligeant à l'ennemi des pertes sérieuses et maintenant l'intégralité de ses positions. »
Signé : Général TATIN.
Casque - Téton (mai-juin 1917)
Texte
des citations ?
Vu aussi pour le 125 RI :
7e Division de Cavalerie.
Ordre n° 34. 14 novembre 1914
«Au moment où les 125e et 66e d'infanterie vont quitter les tranchées de
Poëlcapelle pour prendre un repos bien gagné, le général commandant la 7e
division de cavalerie, qui a eu le grand honneur de les avoir sous ses
ordres, tient à exprimer à leurs chefs, le colonel Deschamps et le
commandant de Villantroys, son admiration et celle de toute sa division
pour la vaillance et l'abnégation héroïques dont ces régiments ont fait
preuve.»
«Constamment victorieux d'un ennemi constamment renouvelé, ils ont
repoussé toutes les attaques en infligeant à l'ennemi d'énormes pertes,
malgré la fatigue épuisante de trois semaines de séjour dans la tranchée,
marquées de combats de jour et de nuit.»
« Le 125e et le 66e laissent à la 7e division de cavalerie un magnifique
exemple qui ne sera jamais oublié».
«Au P. C., le 14 novembre.»
Signé : Ely d'Oisel.
9e Corps d'Armée. 16 novembre 1914.
Le général commandant le 9e C. A. cite à l'ordre du Corps d'Armée :
«Le 125e d'infanterie, pour sa constante belle attitude au feu dans la
région de Poëlcapelle, où, après avoir gagné plusieurs kilomètres sur
l'ennemi, il a ensuite résisté avec succès à de violentes contre-attaques, et toujours maintenu les positions conquises en infligeant
des pertes considérables à l'ennemi et lui faisant des prisonniers».
Signé : Dubois
le général commandant la 2e armée cite à l'ordre :
«Le 125e régiment d'infanterie, qui, le 7 mai 1916, sous le commandement
du lieutenant-colonel Oudry, après avoir supporté un
bombardement d'une violence inouïe, a rejeté, par une violente
contre-attaque, l'attaque d'un ennemi supérieur en nombre, lui
faisant plus de cent prisonniers.»
Le général commandant la IIe armée.
Signé : Nivelle.
ORDRE GÉNÉRAL N° 43
Le Général commandant la Ire armée cite à l'ordre de l'Armée :
«Le 125e régiment d'infanterie,
« Sous les ordres du Lieutenant-Colonel Maurel, a, le 9 mai 1918,
attaqué après une courte et violente préparation d'artillerie une position
fortement tenue et très solidement organisée. S'est élancé à l'assaut avec
une ardeur telle que les organisations ennemies furent débordées et les
mitrailleuses capturées avant d'avoir pu entrer en action. A atteint en 20
minutes tous les objectifs qui lui avaient été assignés, les a organisés
immédiatement et les a conservés malgré trois contre attaques.
A capturé au cours de cette affaire 290 prisonniers, dont 5 officiers, 25
mitrailleuses, 7 minenwerfer et un important matériel.
Au Q. G. A., le 9 juin 1918.
Le général de Division
Debeney
Commandant la 1re armée.
Signé DEBENEY.
ORDRE GÉNERAL N° 145
Le général commandant la Ire armée cite à l'ordre de l'armée :
«Le 125e régiment d'infanterie.
« Sous le commandement du lieutenant-colonel Maurel, a, les 8 et 9
août 1918, réussi à forcer le passage d'une rivière malgré la défense
formidable que l'ennemi avait accumulée pour en interdire l'accès, et à
s'emparer d'un village fortement organisé; poursuivant ses succès, les 10 et
11 août, a rompu la résistance de l'ennemi, et progressé de 12 kilomètres,
faisant près de 300 prisonniers, capturant de nombreuses mitrailleuses et
un important matériel ».
Au Q. G. A., le 6 octobre 1918.
Le général Debeney, commandant la Ire armée
Signée : Debeney
Le général commandant la Ire armée cite à l'ordre de l'Armée :
«Le 125e régiment d'infanterie.
«Superbe régiment, qui depuis le début de la guerre, s'est couvert
de gloire en Belgique, sur la Somme et à Verdun ; cité à l'ordre à la
suite des durs combats de la Cote 304 prend, en 1918, une part
importante aux opérations de la 1re armée ; cité une deuxième fois
pour avoir enlevé les positions allemandes du Parc de Grivesnes formidablement
défendues (mai 1918) ; il est cité une troisième fois à la
suite de l'enlèvement du Ruisseau des Trois-Doms à Pierrepont (août
1918) et de l'avance rapide qui le conduit à 5 kilomètres de Roye ; en
septembre, il enlève successivement le passage du Canal du Nord,
celui de la Somme, s'empare de Ham, enlève le passage du canal de
Saint-Quentin à Tugny ; enfin le 4 novembre, dans une action d'une
vigueur et d'une rapidité admirables, il enlève le passage du canal de
la Sambre à Hannapes et en moins de 48 heures réalise une avarice
de plus de dix-huit kilomètres, faisant 500 prisonniers, dont 12
officiers et capturant un important matériel, non encore dénombré,
parmi lequel 14 canons, dont 7 lourds, 20 mitrailleuses lourdes et 5
minenwerfer ».
Le général commandant la 1re armée.
Signé : Debeney
Cordialement
PB
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
Texte ?
Les opérations du 24
octobre, des 1er et 2 novembre, (derniers exploits du
Régiment) lui valurent une deuxième citation à l'ordre de l'Armée et
Texte ?
Ce même jour, sur le terrain d'aviation de Castello
di Codego, S. M. le Roi d'Italie passe en revue les
F. F.I. et le général Graziani remet
3 citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
« Sous
l’impulsion énergique et personnelle de son Chef, le Général Rauscher, le 1er Brigade d’Infanterie, comprenant le 127e d’Infanterie, sous le commandement du Lieutenant-Colonel
Pravaz, après avoir soutenu, pendant douze jours, un bombardement incessant sur
un terrain presque sans abri, a, le
« Très bon
Régiment qui s’est brillamment comporté à Verdun, sur la somme et sur l’Aisne.
Vient, sous le commandement du Lieutenant Colonel Pravaz, de donner la mesure
de sa tenacité et de son esprit offensif, au cours
des opérations dans les Flandres, s’emparant, malgré la résistance de l’ennemi
dans des organisations bétonnées, d’une zone de terrain profonde de
Bixchoote, Belgique, août 1917
Le
"Régiment
d'élite aux annales déjà lourdes de succès. Au cours des opérations récentes, a
conquis de nouveau lauriers en menant sous la claire et vigoureuse mpulsion de son chef, le Lieutenant-Colonel Rapp, des
actions offensives particulièrement heureuses ; a pris deux villages, ramassé 4
canons et s'est emparé de plus de 2.360 prisonniers dont au moins 40 Officiers
appartenant à quatre divisions ennemies différentes."
Prise de Tartiers, août 1918
Le 1e bataillon, avec son chef, le
Commandant de Bouchony, par l’énergie et la vaillance
qu’il a déployées en cette journée a mérité d’être cité à l’ordre de
Forêt de Vauclerc, Aisne, avril 1917
3ème bataillon
(Commandant Rouhier) une citation à l'Ordre de la
162me Division.
Prise de l’Ouvrage Djelfa, Le Port, Aisne, juin 1918
La belle
conduite de la 11ème Compagnie (Lieutenant Dupont) vaut à
cette unité une citation à l'ordre de
Bois de
Sont cités pour leur belle conduite.
Mesnil-lès-Hurlus, février 1915
Texte des citations ?
3 citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
à l’ordre de la 2e Armée :
Sous le Commandement du
Lieutenant-Colonel VALZI, s’est montré une véritable troupe d’élite. Chargé de
la défense d’une portion du front sur laquelle l’ennemi, après avoir réalisé
quelques progrès, s’acharnait avec opiniâtreté, a, du 4 au
Verdun, avril 1916
à l’Ordre de la 3e Armée :
Régiment de premier ordre
qui a combattu du 9 au
Secteur de Compiègne, juin 1918
Le
à l’ordre des armées du nord et du nord-est :
Merveilleux Régiment,
alliant à l’audace la fougue et l’héroïsme. A livré, sous les ordres du Colonel
WEILLER, du 1er au
A enlevé les fortes
positions qui étaient ses objectifs, renouvelant à l’assaut du plateau de
Crouy, le glorieux exploit qui, le
Crouy, secteur de Soissons, Aisne, septembre 1915
Texte
des citations ?
Le Général commandant la 124e division d'infanterie cite à l'ordre de la division :
Le 130e Régiment d’Infanterie :
"Glorieux régiment a qui les faits d'armes donne une des premières places parmi les régiments d'élite.
du 1e au 4 novembre 1918, sous les ordres du lieutenant-colonel ROUSSEAU, après avoir collaboré avec ses mitrailleuses et ses engins d'accopagnement à la prise de Voncq, il bouscule l'ennemi devant la maison forestière, et le poursuit jusqu'aux lisières nord du bois du Chesne, capturant au cours de sa victorieuse avance un certain nombre de prisonniers, deux pièces de 150 et un important matériel.
Le 7 novembre 1918, le général commandant la 124e D.I.
Signé : Général TATIN
Texte des citations ?
Texte des citations ?
4
citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
«Ordre de
l'Armée no 37, du
Est cité à l'ordre de l'Armée :
Le 133ème Régiment d'Infanterie, sous les ordres du lieutenant-colonel Baudrand.
«Ce régiment,
dont deux bataillons, trois semaines auparavant, avaient été cités à l'ordre de
l'Armée pour avoir enlevé une position puissamment fortifiée sur une autre
partie du front, a renouvelé cet exploit à
Signé: DE
MAUD'HUY.
Secteur de Metzeral, Vosges, juillet 1915
ORDRE N° 173
DE
Est cité à l'ordre de l'armée, le 133ème régiment d'infanterie :
« Les 16 et
Le général
commandant
Le général de Bazelaire, commandant le VIIème corps d'armée, vint remettre la fourragère aux deux unités victorieuses de la 82ème brigade : le 23ème et le 133ème, sur le plateau qui domine Fleury-les-Rivières.
ORDRE GÉNÉRAL
DE
« Le 133ème régiment d'infanterie, sous le
commandement du lieutenant-colonel Kiffer, s'est porté, le
Les jours
suivants, en dépit des fatigues et des pertes, il a maintenu tout le terrain
conquis avec une énergie et une ténacité inlassables; Et, reprenant l'attaque,
brisant toutes les résistances rencontrées, a fait, au total, une progression
de
Le
ORDRE GÉNÉRAL N° 660 DE L'ARMÉE FRANÇAISE DE BELGIQUE
Est cité à l'ordre de l'Armée :
Le 133ème Régiment d'Infanterie.
« Régiment d'élite qui, sous les ordres du lieutenant-colonel Kiffer, a attaqué quinze fois, durant un seul mois d'opérations offensives. Après plusieurs marches de nuit pénibles, a enlevé d'assaut et conservé de haute lutte une position fortement organisée, capturant 120 prisonniers, de nombreuses mitrailleuses.
Malgré une âpre résistance, a forcé le passage d'une rivière et contraint l'adversaire au repli. Au terme de la poursuite, a harcelé d'attaques quotidiennes l'ennemi fixé sur une nouvelle position, lui enlevant, l'un après l'autre, des centres de résistance puissamment défendus avec l'élan le plus intrépide et la plus admirable ténacité. »
Le
Le Général commandant l'Armée française de Belgique.
Signé : DEGOUTTE.
Belgique, octobre 1918
Le
Pour cette circonstance, un bataillon fut constitué, avec drapeau et musique, sous les ordres du chef de bataillon Abbadie, commandant provisoirement le régiment, en l'absence du lieutenant-colonel Kiffer; il se porta sur la place de l'Hôtel-de-Ville de Rosendaële,
ORDRE GÉNÉRAL
n° 32, DE
« Les 1er et 2ème bataillons du 133ème R. I. ont fait preuve d'une incomparable vaillance et d'une énergie au-dessus de tout éloge, en enlevant une position très solidement organisée, que l'ennemi considérait comme inexpugnable, d'après les déclarations mêmes des officiers prisonniers. Lui ont fait subir des pertes considérables et, malgré un bombardement des plus violents, n'ont cessé de progresser pendant plusieurs journées consécutives pour élargir leur conquête. »
Signé : DE MAUD'HUY.
Secteur de Metzeral, Vosges, juin 1915
ORDRE DE LA 6ème BRIGADE DE CHASSEURS N° 33, DU
«Les 2ème et 3ème bataillons du 133ème R. I. ont, les 12 et 13 septembre, contribué dans la plus large mesure aux succès de la 6ème brigade de chasseurs, à laquelle ils étaient provisoirement rattachés. Malgré les très dures fatigues des semaines précédentes, malgré les pertes dues au bombardement ininterrompu des jours antérieurs à l'attaque, ces deux bataillons ont marché à l'assaut des tranchées de Marrières et du village de Bouchavesnes avec une admirable bravoure et un élan magnifique.
La 6ème brigade de chasseurs est fière d'avoir, pendant ces sanglantes mais brillantes journées, compté dans ses rangs, sous les ordres du lieutenant-colonel Baudrand, les bataillons Thouzellier (2ème) et Martin (3ème) du 133ème.
Le commandant de la brigade remercie le glorieux 133ème du concours sans réserve que ses braves officiers, sous-officiers et soldats lui ont apporté et considère comme un honneur pour ses chasseurs de citer les 2ème et 3ème bataillons du 133ème à l'ordre de la 6ème brigade de chasseurs à pied. »
Le Colonel commandant la brigade.
Signé : MESSIMY»
2 citations à l’ordre de l’armée, une au corps d’armée, fourragère verte
Le général
commandant
Brave régiment qui s'est déjà distingué aux attaques de Champagne, à Fleury-sous-Verdn. Sous le commandement du lieutenant-colonel des Essarts, a combattu sans arrêt du 18 au 2" août 1918, atteignant tous ses objectifs, faisant 250 prisonniers et prenant un nombreux matériel.
Signé : Mangin
Le Maréchal de France cite à l'ordre de l'armée le 134e régiment d'infanterie:
"Très beau régiment qui a toujours attaqué et résisté avec un superbe allant et une parfaite endurance.
Du 3 au
S'est
distingué à nouveau dans
A repris la lutte du 9 au 20 octobre entre Saint-Quentin et Guise. Chargé de l'attaque de Bernoville puissamment organisé et défendu, a fourni pendant dix jours un effet considérable et, à la suite d'une lutte meurtrière de maison à maison, a finalement chassé l'ennemi de la position faisant plus de 100 prisonniers, s'emparant de trois mortiers et d'une cinquantaine de mitrailleuses. »
Signé : PETAIN
Texte ?
« Régiment
qui s'est déjà signalé à maintes reprises par sa belle tenue dans les grandes
affaires au cours de la campagne : à Verdun, en Champagne et dans
Le.... sous le commandement du lieutenant-colonel Sézille des Essarts, après une marche pénible succédant à une longue série de combats et de fatigues, s'est porté sans arrêt à la contre-attaque de forces allemandes avec un entrain admirable. A contribué largement à enrayer définitivement la progression ennemie de ce coté et malgré ses pertes s'est maintenu pendant plusieurs jours sur les positions conquises repoussant toutes les tentatives des Allemands »
Signé : De Pouydraguin
« Sous le commandement
énergique du chef de bataillon Drussel, s'est
distingué, le
S'était déjà fait remarquer
en Champagne et à Verdun. »
Le général commandant le 8e C.A.
Hely d'Oissel
« Le 3e bataillon
du 134e régiment d'infanterie étant arrivé dans des
tranchées de première ligne bouleversées par un violent bombardement a, sous
l'énergique impulsion de son chef le commandant de Vaulgrenant,
tout remis en état, tranchées, boyaux et abris, malgré un tir presque continu
d'obus et de torpilles »
Le Général commandant la 15e D.I.
Signé : Collas.
« Le 3e bataillon du 134e régiment d'infanterie a, dans la journée du 4 août, exécuté une contre-attaque brillante sur la partie haute de F... sous la vigoureuse impulsion du lieutenant colonel Poupard, blessé au cours de l'action, et du commandant Hayotte.
S'est emparé de l'objectif assigné dont il a fait prisonniers les défenseurs et a organisé immédiatement le terrain conquis par des tranchées qui ont défié par la suite toutes les contre-attaques ennemies Le général commandant la 15e D.I. »
Signé : Collas
Verdun, août 1916
« Le
Le général commandant la 15e division
Signé Arbanére.
« Sous le
commandement énergique du sous-lieutenant Daydé, a
fait preuve le
Le Général commandant la 15e division
Signé : Arbanère
" La 2e compagnie
du 134e régiment d'infanterie, sous le commandement
du lieutenant Legros, chargée le...d'exécuter un coup de main sur un point
délicat de la ligne ennemie et dans un terrain difficile, est partie à
l'attaque avec un allant irrésistible et dans un ordre parfait, a atteint tous
les objectifs désignés, infligé dans un combat à la grenade et au corps à corps
des pertes sérieuses à son adversaire qui s'est défendu avec charnement, détruit les abris dont les occupants refusaient
de se rendre, ramené des prisonniers et rapporté deux mitrailleuses. »
Le général comandant la 15e division
Signé : Arbanère
"Le
Le général commandant la 15e division
Signé : Arbanère
Sous le commandement du
lieutenant Bardin :
« Le
Le général commandant la 15e D.I.
Signé : Collas
À l'ordre de la division le 31 juillet :
« Sous le
commandement du lieutenant Marey, du sergent Meunier et du caporal Martel, a
brillamment repoussé le
S'était déjà
fait remarquer au cours de différents engagements au bois d'Ailly, devant
Fleury, dans
Le colonel commandant provisoirement la 15e D.I.
Signé : Frantz
Ordre n° 66 du
"Bataillon de braves, que son passé glorieux, sa belle tenue et son excellent esprit classent au rang des unités d'élite.
Le
Le
Aux attaques
de Champagne, le
A la bataille
de Verdun, le 1er bataillon
s'empare le
Le
Sur l'Oise
enfin, au cours des contre-attaques de l'armée Mangin et de l'armée Debeney, le
1er bataillon
du 134e prend part à de nombreux
combats et se signale particulièrement le
Texte ?
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
« Le
D’un seul élan irrésistible, a atteint, en moins d’une demi-heure de haute lutte, tous les objectifs qui lui étaient fixés, infligeant de lourdes pertes à l’adversaire. Malgré un bombardement des plus violents, a mis rapidement en état de défense le terrain conquis et a brisé victorieusement tous les retours offensifs tentés par l’ennemi ».
« Engagé au début de juin
1918, dans des conditions difficiles, a supporté sans faiblir plusieurs
attaques grâce à son moral élevé et à une attitude toujours agressive, faisant
des prisonniers et capturant des mitrailleuses.
Après plusieurs semaines d’un service très dur, habilement dirigé par son chef, le lieutenant-colonel Monet, entraîné par les chefs de bataillons Lavenir et Cazaban, a donné, dans les journées des 8, 9 et 10 juillet, de nouvelles preuves de son allant et de son esprit de sacrifice, en livrant un combat victorieux à l’ennemi auquel il a enlevé 250 prisonniers, 15 mitrailleuses et du matériel ».
Le
« Se sont
portés le
« La 1re section de la 3e C.M. est montée
« Est
montée à l’attaque le
Texte
des citations ?
Texte des citations ?
Texte des citations ?
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
« Le 140e R. I., le 25 septembre, sous les
ordres de son chef, le lieutenant-colonel GOUBEAU, adonné l'assaut, drapeau
déployé, tambours battants, a gagné d'un seul élan près de
Secteur du Trou Bricot, septembre 1915
Texte ?
Le
A l'ordre de
Après s'être
distingué brillamment à la bataille du
« Le 18 décembre, sous les ordres du lieutenant SALANIÉ, la 1er compagnie s'est emparée, à la baïonnette, d'une tranchée allemande, faisant 55 prisonniers. Malgré un feu violent d'artillerie et de nombreuses contre-attaques, a conservé le terrain conquis, faisant preuve, malgré les pertes éprouvées, d'une énergie et d'un courage remarquables. »
Lihons, Somme, décembre 1915
« Elle s'est
bravement élancée à l'assaut de la position de
Lihons, Somme, décembre 1915
Sous les
ordres du capitaine CHERTIER, le
repoussé ensuite plusieurs attaques au cours de la même journée, ainsi que les 16 et 17 juillet. A contribué par sa vaillance et sa bravoure à briser la progression de forces puissantes et décidées à passer coûte que coûte pour atteindre les objectifs éloignés qu'elles avaient choisis. »
Les musiciens-brancardiers, par leur dévouement lui apportent un précieux concours et sont pour cela cités à l'ordre du corps d'armée
« Sous l'impulsion énergique de leur chef, M. LANDEROUIN, ont assuré l'évacuation des blessés pendant huit nuits consécutives, sous des feux de barrage redoutables, au prix des plus dures fatigues. Éprouvés par des pertes sensibles, ont montré un bel esprit de sacrifice et de solidarité. »
« Sous les ordres du chef de bataillon
CROIBIER, a brillamment enlevé ses objectifs à l'attaque du
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
« Grâce à l’énergique impulsion de son chef, le lieutenant-colonel MARTIN, le 141°
R.I. a,
pendant quinze jours sans interruption, malgré les pires intempéries et un
bombardement intense, brillamment assuré la défense d’un secteur
particulièrement difficile et important. A brisé toutes les attaques de
l’adversaire et réussi toutes les siennes. En particulier, dans les journées
des 5 et
« Sous
l’habile direction de son chef, le lieutenant-colonel JUMELLE, s’est emparé
d’une position fortement organisée et âprement défendue par l’ennemi. Puis,
dans une série de combats très durs, poursuivis sans arrêt, de jour et de nuit,
a réussi, grâce aux judicieuses dispositions prises, à faire tomber une à une
les lignes successives de l’ennemi. A gagné en quatre jours,
Le 17 avril, à
Kreuznach, en Prusse rhénane, le drapeau du régiment, tenu par le
lieutenant-colonel MANGEMATIN, recevait des mains du général FAYOLLE la
fourragère aux couleurs de
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
Décision du
maréchal de France, commandant en chef les armées de l’est, du
« Régiment de
premier ordre, toujours au fort de la bataille sous les ordres de son chef, le
lieutenant-colonel DEVINCET. Chargé de s'emparer d'un bastion avancé de la
ligne allemande, l'a enlevé sans coup férir, maîtrisant la résistance de
l'ennemi, brisant des contre-attaques deux fois supérieures en nombre. Lancé à
sa poursuite, forçant à Pont-Faverger en ruines le passage de
Ordre du
« Régiment brave et sûr, dévoué à son devoir,
animé au plus haut point de la volonté de vaincre. Sous le commandement de son
chef, le lieutenant-colonel DEVINCET, a brisé nettement, à deux reprises
différentes, l'élan puissant de l'ennemi sur deux points décisifs, d'abord du
30 mars au 5 avril, devant Morisel, ferme Anchin, où le régiment a largement
contribué à barrer la route d'Amiens à un ennemi d'une supériorité écrasante.
Puis le
Texte ?
Texte des citations ?
Texte des citations ?
Pas de citations collectives
4
citations à l’ordre de l’armée, une au corps d’armée, une à la division,
fourragère jaune
Ordre n° 33 du
Le général
commandant
« Arrivant à la rescousse sur un terrain nouveau, et dans une situation très confuse, s'est immédiatement lancé à l'attaque sous la conduite de son chef, le lieutenant-colonel Jeanpierre, et, par cette offensive hardie, a arrêté net les progrès de l'ennemi, l'a fixé, et pendant quatorze jours jusqu'à ce qu'il ait été relevé, a résisté à toutes les attaques sans perdre un pouce de terrain et malgré le plus violent des bombardements. »
Ordre n° 462
du
« S'est déjà
distingué sur
« Vient à
nouveau, sous le commandement du lieutenant-colonel de
Le
La citation à
l'Ordre de l'Armée du 20e corps d'armée, en date du
Du 1er mars 1918, ancien ordre du
« Le 20e corps d'armée comprenant... 146e R. I... a, pendant les journées des 26 et
Ordre n° 34 du
détachement d'armée du nord du
« Sous le commandement de son chef le lieutenant-colonel Grasset, modèle de beau soldat, énergique et brave, a pris part à la bataille des Monts de Flandre en avril et mai 1918.
A victorieusement repoussé une violente attaque allemande engagée avec des forces considérables ; a livré de furieux combats dans les éléments de tranchées où l'ennemi avait pénétré, a réussi à l'en chasser par des contre-attaques vigoureusement conduites, lui infligeant des pertes terribles. A ensuite enlevé brillamment un point d'appui fortement organisé et dont la possession était de la plus haute importance pour assurer la sécurité de nos positions. »
Texte ?
Ordre n° 43 du
Le général
commandant
« Arrivant dans des circonstances critiques sur un terrain où l'ennemi ne cessait de progresser grâce à sa grande supériorité numérique, a, par une offensive énergique ordonnée avec une décision remarquable par son chef (chef de bataillon Jacquesson) et exécuté par la troupe avec une bravoure héroïque, arrêté net les attaques ennemies et permis de se cramponner au terrain pour l'organiser. »
Ordre n° 43 du
Le général
commandant
« Arrivant dans des circonstances critiques sur un terrain où l'ennemi ne cessait de progresser grâce à sa grande supériorité numérique, a, par une offensive énergique ordonnée avec une décision remarquable par son chef, le capitaine Bariat, et exécutée par la troupe avec une bravoure héroï que, arrêté net les attaques ennemies et permis de se cramponner au terrain pour l'organiser. »
Ordre n° 253
du
« Déjà cité à
l'Ordre de l'Armée au mois de mars 1916 pour sa brillante attitude dans les
combats autour de Verdun, le 146e R. I. fait preuve des mêmes qualités d'entrain, d'activité et
de méthode, dans les opérations de Picardie et notamment aux combats des 1er et
Ordre n° 106
du
« Appelé en
première ligne à un moment difficile, a, sous l'énergique impulsion de son chef
le lieutenant-colonel Jeanpierre, arrêté une violente
attaque de l'ennemi le
Ordre n° 32 du
Le lieutenant-colonel David, commandant le 146e R. I., cite à l'Ordre du Régiment la 3e section de la 1re compagnie,
« Qui, sous
les ordres du sergent Vauchelet et du caporal Petit,
s'est, dans la nuit du 7 au
Ordre n°8 du
Le lieutenant-colonel Jeanpierre, commandant le 146e R. I., cite à l’ordre du Régiment la 1re section de la 9e compagnie :
« Le
3 citations à l’ordre de l’armée, une à la division, fourragère verte
« Les 4 et
» Superbe au feu, le 147e a fait preuve, au cours de ces journées, d'une splendide bravoure et de qualités manoeuvrières remarquables. »
« Superbe régiment, plein
d'entrain et d'allant.
Le
Bois
Meunière, Dormans, Marne
Texte ?
« Régiment remarquable par son mordant, sa ténacité dans l'effort et sa capacité manoeuvrière. Sous les ordres de son chef, le Lieutenant-colonel LANUSSE, au cours de six journées de progression et d'attaques incessantes, a refoulé l'ennemi sur plus de six kilomètres de profondeur, malgré les difficultés d'un terrain puissamment fortifié et sans souci des pertes causées par le feu et l'ypéritage, s'est emparé de 261 prisonniers, de 6 pièces de 105, 4 pièces de 77, 23 mitrailleuses lourdes ainsi que de nombreuses munitions et matériel divers. »
Le 2e bataillon
« A attaqué avec un entrain remarquable une position ennemie solidement fortifiée; l'a enlevée et a pénétré d'un seul élan jusqu'à la 3e ligne allemande, malgré les feux violents de mitrailleuses et d'artillerie de front et de flanc. »
Région fortifiée de VERDUN
« Sous les
ordres de son chef, le chef de bataillon DURAND-CIAYE, pendant la période du 12
au
À l'ordre de la 2e Armée
avec le motif suivant :
« La 1ère ligne étant rompue
à sa droite, le
« Le
Ordre de la division N° 46
du
« Le Général Commandant
la 4e division rend hommage au sang-froid et à la vaillance des officiers,
sous-officiers, caporaux et soldats du 147e dans les journées des 30 et
Dans l'après-midi du 30,
après un bombardement extrêmement violent, l'ennemi ayant réussi à pénétrer sur
le front d'une compagnie, les unités voisines ont continué de résister sur
place, certaines que les camarades allaient venir à la rescousse.
Pendant ce temps les
barrages s'organisaient et, dans la nuit, une action énergique nous rendait traîtres
de la partie de tranchée momentanément perdue.
Le 31 au matin après un
combat à la grenade, les Allemands encerclés dans un boyau, se rendaient.
A la suite de cette
opération particulièrement brillante, le 147e restait définitivement maître de
la totalité du front q’il avait mission de défendre
et faisait 359 prisonniers dont 3 officiers.
Par la suite, le régiment repoussait victorieusement toutes les attaques; là où le 147e a mission de tenir, l'ennemi ne passe pas. »
Sous le commandement du
Sous-lieutenant IMBERT, se porte résolument à la contre-attaque, engage avec
l'assaillant une lutte des plus ardentes au fusil et à la grenade, le contraint
à se replier et réoccupe les lignes momentanément abandonnées.
Cette compagnie est citée à
l'ordre de la 11e division dans les termes suivants :
« Compagnie d'élite, sous les ordres du Sous-lieutenant IMBERT, secondé par le Sous-lieutenant GUITTON et l'Aspirant PHILIPPON, arrivée pendant la nuit du 16 au 17 mars dans un secteur soumis à un violent bombardement, pour relever les unités appartenant à un autre corps, a exécuté, le lendemain au matin et sans attendre d'ordres, une vigoureuse contre-attaque qui a permis de repousser une violente offensive ennemie et de réoccuper un point d'appui important où un détachement ennemi avait réussi à prendre pied. »
La 1ère section de la 2e compagnie
Est citée à
l'ordre par le Général Commandant la 4e division d'infanterie en ces
termes : « En 1ère ligne, le
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
« Dans les
engagements qui viennent d'avoir lieu dans les environs de Berry-au-Bac et de
Un grand nombre de militaires de, tous grades et de toutes armes ont donné les marques de la bravoure la plus éclatante »
« Régiment dont l'ardeur ne s'est jamais
démentie pendant quatre ans de guerre, sous les ordres de son chef, le
lieutenant-colonel CURIE, s'est signalé d'une façon particulière le
A fait plus de 400
prisonniers et s'est emparé d'un matériel important de toute nature. Un autre
chef, le Prince Alexandre de Serbie écrivait au lendemain de la victoire, au
général TOUPART, commandant la 122e division :
Positions du Sokol et Drobopolie, Serbie
Fin mai, nos soldats s'emparent de la fameuse tranchée des Taupes, chère aux Bulgares. Pour la reconquérir, ils pratiquèrent des tirs répétés et nourris d'artillerie légère et lourde. Des obus à gaz furent employés contre le 148e, qui essuya des pertes sensibles.
Ce combat valut à la 10e Compagnie une brillante citation de la division avec remise de la Croix de Guerre.
Texte ?
Les Bulgares tentèrent de reprendre le « Ravine » La 5e et la 6e Compagnie s'illustrèrent dans cette défense malgré l'épidémie sévissant de plus en plus parmi nos camarades. Trois sections du 148e se virent citer à l'ordre de la division pour leur ténacité et 'leur courage dans les combats de fin 1917.
Texte ?
Texte des citations ?
5
citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
La 40e division est citée à
l'Ordre de la 2e armée qui reconnait ainsi son courage :
« La 40e division
d'infanterie, sous la vigoureuse impulsion de son chef, le général Leconte,
remarquablement secondé par les colonels Poignon et Dilleman, commandants les brigades, a, du 16 mars au
Le Général commandant la 2e Armée : NIVELLE.
Aussi la division est-elle citée à l'Ordre dans les termes suivants :
« La 40e division est entrée
dans la bataille de
Signé : DEBENEY.
Le soir du
« J'ai gardé
de la 40e un souvenir inoubliable. Cette division a été le pivot de la bataille
de Verdun sur la rive gauche en mars et avril
Je donne la fourragère à chacun des 150e et 161e régiments d'infanterie... Si je ne donne pas la fourragère à la 40e division, à qui voulez-vous que je la donne ? »
Citation à l'Ordre du 32e Corps d'Armée, transformée en octobre en citation à l'Ordre de l'Armée :
« Le 16 Avril 1917, le 150e régiment d'infanterie, sous le commandement du lieutenant-colonel Rollet, s'est élancé avec un enthousiasme superbe et une farouche énergie à l'attaque du Mont Sapigneul et a atteint d'un seul bond la troisième ligne ennemie. Décimé par un feu terrible d'artillerie et de mitrailleuses, il a résisté toute la journée à de furieuses contre-attaques, montrant une énergie et une ténacité admirables, accomplissant des prodiges de valeur et ne s'est replié que le soir, après avoir perdu son lieutenant-colonel, ses trois chefs de bataillon, la majeure partie de ses cadres et plus de la moitié de son effectif ».
Le Général commandant en chef : PETAIN.
« Régiment d'élite ; a fait preuve des plus
belles qualités d'énergie et d'endurance, en travaillant sans trêve pendant
quarante-cinq jours, sous le bombardement, à l'organisation des positions
devant lesquelles il avait arrêté l'offensive ennemie présente.
Du 15 au
Le Général commandant la 5e
armée : BERTHELOT.
Le 9 septembre, le maréchal
commandant en chef attache aux drapeaux du 161e R.
I. et du 150e R. I., sur le terrain d’action de Lenoncourt,
la fourragère aux couleurs du ruban de
« Superbe régiment ; sous les
ordres du lieutenant-colonel Voinier, après six
étapes de nuit consécutives, a poursuivi l'ennemi avec acharnement pendant neuf
jours dans les conditions atmosphériques les plus défavorables, par la pluie,
le froid et la boue, malgré les interruptions systématiques de toutes les
communications. Par sa ténacité et sa manoeuvre
habile, a réussi à rejeter l'ennemi au-delà de
Le Maréchal de France commandant en chef les armées françaises de l'est PETAIN.
4
citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
Citation à l'Ordre de l'armée. Ordre n° 436.
« LA 42e DIVISION
D'INFANTERIE
« Division d'élite qui a
pris la part la plus glorieuse à toutes les opérations les plus importantes de
cette campagne :
« Les 8e,
16e BCP, les 94e, 151e et
162e régiments d'infanterie, se sont acquis de
nouveaux titres de gloire. »
Au cours
de l'offensive de
« Régiment d'élite qui vient
d'affirmer à nouveau sa réputation au cours des récents combats.
Le
A fait de nombreux
prisonniers, pris des canons et des mitrailleuses. »
Le régiment est relevé dans
les premiers jours de mai et emmené au repos dans la région de Villers-Agron et de là, à l'instruction dans la zone complémentaire
du camp de Mailly. Au cours de cette période, la fourragère aux couleurs de la
croix de guerre est remise officiellement au régiment par le général FAYOLLE,
le
Citation à l'ordre du 34e C. A. :
« 151e RÉGIMENT D'INFANTERIE
« Régiment ayant une très belle tenue au feu. Sous le commandement du lieutenant-colonel PERCHENET, a enrayé l'avance ennemie et a contribué, par sa résistance opiniâtre, à briser les efforts allemands. » Cette citation devait être par la suite transformée en citation à l'ordre de l'armée (3e citation)
Au cours de ces rudes journées, le régiment a perdu 638 hommes.
Attaques
de Rancourt et de l'Aisne.
« Ordre de
« 151e RÉGIMENT
D'INFANTERIE.
« Au cours des combats très
durs soutenus du 28 au
« A conquis, pied à pied et
maison par maison, les faubourgs nord de la ville, s'emparant, par trois jours
de lutte acharnée, de la base de départ pour les attaques ultérieures et la
conservant en dépit de cinq contre -attaques ennemies. »
Les pertes
du 151e dans
les attaques de Soissons ont été de 890 hommes.
Enfin, le 21 janvier, le drapeau du régiment recevait à Deux-Ponts, des mains du général FAYOLLE, commandant le groupe d'armées, et en présence d'un détachement du 1er bataillon, la fourragère aux couleurs de la médaille militaire que le maréchal PÉTAIN, commandant en chef les armées françaises, lui avait décernée par décision en date du 24 décembre.
6
citations à l’ordre de l’armée, fourragère rouge
ORDRE GÉNÉRAL N0 4
Est cité à l'ordre de
l'armée, le 152e régiment d'infanterie
« A, sous les ordres du chef
de bataillon Jacquemot, fait preuve d'une vaillance
et d'une endurance au-dessus de tout éloge en conquérant le village de
Steinbach après huit jours de luttes héroïques de jour et de nuit, s'emparant
une par une des maisons fortifiées, répétant les assauts au milieu des
incendies; se maintenant sous un feu des plus violents dans les tranchées
remplies d'eau glacée, infligeant à l'ennemi de lourdes pertes et lui enlevant
une mitrailleuse et de nombreux prisonniers. »
Signé : PUTZ.
ORDRE GÉNÉRAL No 26
Est cité à l'ordre de
l'armée, le 152e régiment d'infanterie
« Commandé par le lieutenant-colonel Jacquemot, a, avec les 7e, 13e, 27e et 53e bataillons de chasseurs, rivalisé d'énergie et de courage sous la direction du lieutenant -colonel Tabouis, pour se rendre maître, après plusieurs semaines de lutte pied à pied et une série d'assauts à la baïonnette, de tous les retranchements accumulés par l'ennemi sur la position de l'Hartmannswillerkopf. »
Signé : PUTZ. Attribution de
la fourragère aux couleurs de la croix de guerre par ordre général N° 1-F du G.
Q. G. du
Est cité à l'ordre de
« Sous la direction du
lieutenant-colonel Semaire, a enlevé, le
Signé : FAYOLLE.
ORDRE GÉNÉRAL No 287
Le général commandant
« Sous les ordres du
lieutenant-colonel Barrard, a, le
Signé: DUCHÊNE.
Attribution de la fourragère
aux couleurs de la médaille militaire par ordre général N° 10214 du G. Q. G. du
ORDRE GÉNÉRAL N° 616
Le général commandant
« Engagé le
Le cinquième jour
d’engagement, et malgré la fatigue extrême, a exécuté une contre-attaque qui a
repris la presque totalité du terrain arraché la veille par l'ennemi. »
Signé : DEGOUTTE. ORDRE GÉNÉRAL No 627
Le général commandant
« Magnifique régiment qui
pendant huit jours de durs combats, du 18 au
Signé : DÉGOUTTE.
Attribution de la fourragère
à la couleur du ruban de
Texte des citations ?
Texte des citations ?
La 40e division est citée à l'Ordre de la 2e armée qui reconnait ainsi son courage :
« La 40e division
d'infanterie, sous la vigoureuse impulsion de son chef, le général Leconte,
remarquablement secondé par les colonels Poignon et Dilleman, commandants les brigades, a, du 16 mars au
Le Général commandant la 2e Armée : NIVELLE.
4 citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune, une au corps d’armée, une à la division
Pour sa
conduite héroïque le général Nivelle cite à l'ordre de l'armée, le
« Sous la vigoureuse impulsion de son chef, le général COMTE, remarquablement secondé par les colonels POIGNON et DILLEMANN, commandants de brigade :
A, du 16 mars
au
Du 15 avril au
6 mai, prenant à son tour l'initiative des attaques malgré les bombardements
quotidiens d'une extrême violence et les retours offensifs furieux des
Allemands, la division a progressivement conquis plus de
Elle a ainsi attaché d'une manière impérissable, les noms du Mort-Homme et de Cumières aux drapeaux des 150e, 154e, 155e et 161e régiments d'infanterie, qui avaient déjà bien mérité de la patrie par leur belle défense de l'Argonne et leur vigoureuse offensive de Champagne. »
Le drapeau du 155e reçoit la croix de guerre avec palme le 18 mai.
Le général
GUILLAUMAT cite à l'ordre de
« S'est
distingué depuis le début de la campagne sur de nombreux champs de bataille où
il a été engagé et, en dernier lieu, sur l'Aisne, du 16 avril au
Le
A capturé de nombreux prisonniers ainsi qu'un important matériel. »
L'ordre
général
Aussi le 155e est cité à l'ordre de
« Régiment superbe,
qui, après s'être acquis de nombreux titres de gloire, vient de nouveau, sous
le commandement de son chef, le lieutenant-colonel LEQUEUX, de faire preuve des
plus belles qualités offensives les 10, 19 et
Après avoir
enlevé brillamment trois lignes successives de tranchées, capturant 350
prisonniers, un armement et un matériel considérables, a progressé sur une
profondeur de
Bois des Loges
« Le général
HUMBERT cite à l'ordre de
Dans cette seule journée, il a attaqué et enlevé, malgré une résistance opiniâtre de l'ennemi, un village fortement organisé, franchi de vive force le canal du Nord et s'est emparé d'un nouveau village, capturant 143 prisonniers, appartenant à trois régiments différents, ainsi que plus du 40 mitrailleuses, un canon de 77, deux batteries de minenwerfers et un nombreux matériel.
Il n'a cessé
de tenir la tête du mouvement offensif et une fois de plus a fait preuve, en
même temps que de remarquables qualités manœuvrières, de la plus intense
ténacité dans l'effort et, de la plus belle ardeur offensive. »
Cattigny, au canal Crozat
Cette
quatrième citation à l'ordre de l'armée lui gagnait le droit au port de la
fourragère aux couleurs de la médaille utilitaire, que son drapeau recevait des
mains du général DE CASTELNAU, le
Pour sa conduite dans ce secteur, le 155e est cité à l'ordre du corps d'armée par le général
PASSAGA (Ordre
du
" A, le
Le général CARON cite à l'ordre de la 165e division le 155e R.I. :
« Type du régiment de l'est qui a su au cours de la guerre justifier la confiance dont lapatrie l'avait honorée en lui confiant la lourde tâche de supporter les premiers chocs ; Cinq citations dont quatre à l'ordre de l'armée, la fourragère aux couleurs de la médaille militaire accrochée à son drapeau en font foi.
Parti le
Puis c'est
l'âpre, obscur et incessant combat de sept mois au bois de
En Champagne,
le
Plus tard, en 1916, c'est à Verdun que son énergie farouche se cramponne aux pentes dubois des Corbeaux et aux ruines de Cumières.
En 1916,
encore dans
Le
En 1918, sous
l'ardente impulsion de son chef le lieutenant-colonel LEQUEUX, secondé par le
commandant BOUFFART et les chefs de bataillon LANTUEJOUL, MATHIEU, VILHELM et
PATRON, après avoir bloqué l'ennemi devant
Enfin, du 10
août au 15 septembre, Lataule, Conchy-les-Pots, les bois des Loges, Cattiguy, le canal Crozat, jalonnent une rude et glorieuse
bataille qu'il poursuit pendant
Et le 13
décembre, toujours à l'avant-garde et sentinelle avancée à la frontière dont
4
citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
Extrait du
Journal officiel du
« Pendant les
journées des 26 et
« Après s'être
distingué dans toutes les grandes opérations de la campagne, s'est très brillamment
comporté en mai et en septembre 1915 ; vient de se montrer à nouveau digne de
son passé en continuant à arrêter l'offensive allemande, du 25 février au
Extrait du
Journal officiel du
« A pris part à la bataille des Monts; engagé de nuit, sur un terrain difficile contre un ennemi fortement exalté par de récents succès, a réussi à arrêter sa progression en lui infligeant de lourdes pertes. A de nouveau, quelques jours après, contenu, en défendant le terrain pied à pied, un ennemi très supérieur en nombre qui s'acharnait à la conquête de nos positions. Bien qu'ayant subi des pertes et quoique soumis à des bombardements continuels d'une violence extrême, a rejeté ensuite l'adversaire, par des contre-attaques furieuses et répétées, allant jusqu'aux corps à corps les plus acharnés, des parties essentielles de nos lignes dans lesquelles il avait réussi à pénétrer. »
Extrait du
Journal officiel du
« Régiment
d'élite, animé d'un ardent esprit offensif, sous le commandement du lieutenantcolonel GUITRY, a mené, du 21 au
A réussi
finalement à libérer une ville importante, à rejeter l'adversaire sur une
profondeur de plus de
1 citation à l’ordre de l’armée, fourragère verte
ORDRE GENERAL N°326
Le Général DE LOBIT, commandant l’Armée de Hongrie, cite à l’ordre de l’Armée :
Le 157ème Régiment d’Infanterie.
« Magnifique Régiment. N’a cessé depuis le début de la campagne de faire preuve de superbes qualités d’allant, de vigueur et de ténacité, sur l’Yser, à Verdun, en Albanie et au nord de Monastir.
« Sous
l’énergique impulsion du Lieutenant-colonel Du Noyer de Lescheraines,
s’est particulièrement distingué en Belgique, au combat des Dunes en décembre
1914, à Verdun, du 10 février au 29 mars dans l’attaque du réduit et du bois
d’Avocourt, puis en Albanie de fin janvier à février 1917, se lançant à
l’attaque des positions ennemies a réalisé une avance de plus de
De Lobit.
Approuvé :
Q.G.A.A., le
Le Général, commandant en chef les Armées Alliées en Orient.
Signé : Franchet d’Esperey.
Texte des citations ?
3
citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
ORDRE DE L'ARMÉE N° 124, Le 159e régiment d'infanterie
Régiment alpin qui a fait preuve dés plus solides qualités, tant au début de la campagne qu'au cours des combats livrés autour d'Arras en octobre 1914 et pendant les mois de mai et juin suivants.
S'est de
nouveau distingué, sous les ordres du lieutenant-colonel Roussel, le
Q. G., le
Le général commandant la 10 e Armée
Signé : V. D'URBAL.
ORDRE DE L'ARMÉE N° 409
Le 159e régiment d'infanterie
Régiment
d'élite que son chef, le lieutenant-colonel Rat, a su animer du plus bel esprit
du devoir. Le
Au Q. G. A.,
le
Le général commandant la 3e Armée,
Signé : HUMBERT.
?
ORDRE DE L'ARMÉE N° 660
Le 159e régiment d'infanterie
Régiment alpin
qui, sous les ordres du lieutenant-colonel Rat, vient de donner de nouvelles
preuves de sa ténacité et de son ardeur dans la bataille des Flandres. Du 14 au
Le 25, arrache
à une division de
Q. G. A., le
Le général DEGOUTTE, commandant la 6 e Armée
Texte
des citations ?
Merci à Marc pour
cette citation, il semble que cela soit une citation de compagnie au régiment.
Si quelqu’un possède la citation en entier, merci de me contacter
Son grand père était
du 160ème RI-5ème compagnie
Ordre du régiment n° 523
« Pour sa résistance pendant 16 jours face aux assauts ennemis du 25/02/1916 au 12/03/1916. »
Signée le 12/03/1916 Lt colonel METOIS commandant le 160ème RI.
Objet de l'ordre général n°89 aux armées signé Pétain le 04/04/1916
5 citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
La
belle citation du général commandant
décernée au 32e C.
A., est le plus bel éloge que l’on puisse faire des vaillantes troupes qui le
composent :
Ordre n° de
« Le 32e C.
A., depuis sept mois, défend ses positions contre les attaques incessantes de
l’ennemi. Dans cette lutte, sans trêve ni repos, il fait montre des plus belles
qualités : Discipline, endurance, courage.
Chefs et soldats sont animés du plus haut sentiment du devoir ; ils honorent l’armée. »
« Le général commandant
« La 40e division,
sous la vigoureuse impulsion de son chef le général LECONTE, remarquablement secondé par les colonels POIGNON et DILLEMAN, commandant les brigades.
« A, du 16 mars au
Le soir du
« J'ai gardé
de la 40e un souvenir inoubliable. Cette division a été le pivot de la bataille
de Verdun sur la rive gauche en mars et avril
« Sous les ordres du
lieutenant-colonel LINARES, magnifique régiment animé du plus beau
sentiment du devoir et du sacrifice.
Après avoir tenu, dans des
conditions souvent pénibles, un secteur important du front, a été jeté en
pleine bataille, avec mission d’arrêter coûte que coûte l’avance ennemie. A
résisté, pendant une semaine, sans faiblir, dans des combats très rudes, allant
souvent
jusqu’au corps à corps, à l’assaut de forces supérieures et conservé ses positions, infligeant à l’ennemi de lourdes pertes et lui faisant des prisonniers »
« Régiment d’élite. A fait
preuve des plus belles qualités d’énergie et d’endurance, en travaillant sans
trêve pendant quarante-cinq jours, sous le bombardement, à l’organisation des
positions devant lesquelles il avait arrêté l’offensive ennemie précédente.
Du 15 au
Le 9 septembre, le maréchal
commandant en chef attache aux drapeaux du 161e R.
I. et du 150e R. I., sur le terrain d’action de Lenoncourt,
la fourragère aux couleurs du ruban de
La belle citation décernée
au 161e R. I. par le général commandant
« Le général commandant
Le 161e régiment
d’infanterie.
« Superbe
régiment ; sous les ordres du lieutenant-colonel DE WITTE-GUIZOT, après
six étapes de nuit consécutives a attaqué avec vigueur le positions organisées
par les allemands à l’est de Vouziers et les a conquises en deux jours de
combats acharnés ; a ensuite poursuivi l’ennemi sans arrêt pendant neuf jours
par la pluie, le froid et la boue ; Malgré les interruption systématiques de
toutes les communications, a réussi à rejeter l’ennemi au delà de la Meuse, à
plus de
4
citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune, une à la brigade
Ordre de
« Le général
FAYOLLE, commandant
La 42ème division d'infanterie :
« Division
d'élite qui a pris la part la plus glorieuse à toutes les opérations les plus
importantes de cette campagne :
Ordre du GQG. N° 16 975, du
162ème régiment d'infanterie :
« Le
« Au cours des opérations devant Verdun (août - septembre 1917), s'est acquis une gloire nouvelle en conservant, pendant dix-sept jours de combats incessants et malgré les efforts acharnés de l'ennemi, la base de départ des attaques »
Signé PÉTAIN.
Texte ?
IV. Ordre de
Le général
HUMBERT, commandant
Le 162ème régiment d'infanterie :
« Régiment
connu pour son ardeur au combat ; au cours des journées des 10 et
Ordre de
Le général
MANGIN, commandant
Le 162ème régiment d'infanterie :
« Régiment qui
a fait preuve d'un esprit offensif admirable. Chargé d'enlever des positions
très fortes et défendues avec opiniâtreté, a attaqué sans répit, du 1er au
Le
Par ordre n°
132 « F », en date du
Ordre de la 84ème brigade n° 1, du 1er octobre 1914.
« Le général
commandant le corps d'armée et le général commandant la division d'infanterie
ont été frappés, dans la journée du
« Les officiers généraux ont fait part au colonel commandant la brigade de l'impression produite par cette vaillante troupe dont une grande partie, composée de réservistes, voyait le feu pour la première fois. L'entrain et le mépris du danger dont a témoigné si honorablement le 162ème prouvent que, dans ce régiment, officiers, sous-officiers et hommes de troupe ont compris la glorieuse tâche qui leur est confiée.
« Le colonel commandant la 84ème brigade cite ce régiment à l'ordre de la brigade. »
1 citation à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
Le commandant en chef a cité à l'ordre de la 4ème armée, le 163ème Régiment d'Infanterie :
"Régiment d'un allant
remarquable ; sous le commandement d'un chef de tout premier ordre, le colonel Devanley, a, au cours des opérations du 26 septembre au
Général Pétain
Il a perdu en tués ou blessés 25 officiers et 986 hommes.
Les 1er et 3ème bataillons sont cités à l'ordre de la 10ème armée :
"Le 1er bataillon, sous les ordres du
commandant Peraldi-Fiorella, et le 3ème bataillon, sous les ordres du
commandant Bès, d'un excellent régiment qui a été engagé en mars-avril 1916
devant Verdun et qui s'est distingué pendant cinq mois d'hiver dans un rude
secteur des Vosges, ont été engagés en août 1917, sur le Chemin des Dames ; Ont
enlevé en trois jours, sur
Général Duchêne
Le Régiment occupe dans la région de Verdun le secteur Hautecourt-Malancourt,
du 22 mars au 12 avril. Il s'empare le 23 mars d'une redoute et d'ouvrages
fortifiés.
La 3ème compagnie est citée à l'ordre de la 2ème armée :
"La 3ème compagnie du
163ème Régiment d'infanterie, capitaine Emmanuelli,
sous-lieutenant Chotard, a brillamment enlevé la
tranchée R. devant le bois de M. le
Le Général-Commandant de la 2ème armée : Nivelle.
Le 2ème bataillon est cité à l'ordre du 8ème corps d'armée :
"Les 19 et
Général Hely d'Oissel
Le Régiment est cité à l'ordre de la 161ème division :
"A fait preuve, sous
l'énergique impulsion de son chef, le lieutenant-colonel Carlier et des
commandants Peraldi-Fiorella, Pellegrin et Bès, d'un
remarquable esprit d'endurance et d'entrain, en tenant pendant huit mois, dont
cinq sans interruption, un secteur difficile. A repoussé six coups de main
importants, précédés d'un violent bombardement, dans perdre un seul homme.
A fait des prisonniers dans
plusieurs coups de main et reconnaissances très audacieusement menées."
Général de
Période du 26
août au
Le
Elle est citée à l'ordre de la 161ème division :
"Sous le
commandement du capitaine Casalonga, après une
soigneuse préparation, a brillamment exécuté par surprise, le
La
3ème compagnie est citée à l'ordre de la 161ème division :
"Sous l'énergique
impulsion de son chef, le lieutenant Delpont a donné
depuis son arrivée dans le sous-secteur le plus bel exemple d'endurance, de
courage et de force morale. A brillamment repoussé deux coups de main ennemis
exécutés sous un bombardement d'une violence rare, les 24 février et
Général de
Le
Après quatre
jours de combats d'une extrême violence, où il perd 600 hommes et 15 officiers,
il atteint le Bois de Gerechamp, et s'installe à la
lisière sud. Il a progressé de six kilomètres. Le 11 octobre, il attaque le
Bois de Gerechamp. Après une certaine avance, son
héroïsme se heurte à un obstacle formidable constitué par un réseau serré de
barbelés de plus de
La 2ème section de la 10ème compagnie est citée à l'ordre de la brigade : "Est tombée glorieusement en allant à l'assaut d'une tranchée allemande sous un feu violent d'infanterie et d'artillerie". (Colonel Verdanet)
Le 163ème occupe un secteur de Fresnes, en
avant de Coucy- le-Château, du 14 janvier au 12 avril. Le 6 avril, après
l'avance allemande sur Noyon,
La 9ème compagnie est citée pour ce fait à l'ordre du Régiment :
"La 9ème compagnie du 163ème Régiment d'Infanterie, sous l'énergique
commandement du capitaine Casalonga, chargée le
Texte
des citations ?
Texte
des citations ?
Texte
des citations ?
3 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
Le Général SEGONNE,
commandant la 128e division, cite à l'Ordre de
LE 167E REGIMENT D’INFANTERIE
“ Attaquant, le
Le Général MANGIN,
commandant
LE 167E REGIMENT D’INFANTERIE
“ Régiment superbe de résistance morale, héritier de glorieuses traditions qui l'avaient déjà distingué dans les combats journaliers du Bois-le-Prêtre en 1915, en Champagne et à Verdun, vient de s'en montrer digne au cours des journées du début de juin 1918 ; violemment attaqué par une division ennemie, Fa contenue pendant trois jours, puis, sous l'énergique impulsion de son chef, le lieutenantcolonel REGARD, a, par d'incessantes contre-attaques, arraché à l'adversaire, un à un, tous les points de la ligne française qu'il avait un instant conquis et l'a définitivement rejeté. ”
Le Général MANGIN,
commandant
LE 167E REGIMENT D’INFANTERIE
“ Régiment superbe de
bravoure, d'endurance et d'entrain. Le
Pendant les
journées des 18, 20, 21 et 22 août, sous l'énergique impulsion de son chef, le lieutenantcolonel REGARD, a repris à l'ennemi plus de
4
citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
A l'Ordre de
Vigoureux
Régiment, qui s'est signalé par sa ténacité et sa vaillance au début de la
campagne, dans les affaires du Bois-le-Prêtre et du Bois-de-la-Gruerie et, plus
récemment au Bois-le-Chaume, à la conquête duquel il a largement contribué.
Ayant reçu mission d'enlever, le
Le
Signé :
HIRSCHAUER.
A l'Ordre de l'Armée (Note N°2.050 du G.Q.G.) :
Régiment ayant
un beau passé. Dans les récents combats, jeté en pleine bataille, à sa descente
de camions, pour étayer des troupes en retraite et enrayer l'avance ennemie, a
su, grâce aux habiles dispositions prises par son chef, le Lieutenant-Colonel
BLANDIN, à ses aptitudes manœuvrières et à la haute valeur morale de ses
unités, assurer la mission qui lui était confiée. Attaqué, les 1er, 2 et 3
juin, par une Division ennemie de
Le
Signé : PETAIN
A l'Ordre de
Régiment
superbe de bravoure et de vaillance. Le
Pendant les
journées du 17 au 24 août, a, par des combats continus, sous l'énergique
impulsion de son chef, le Lieutenant-Colonel MATHIEU, repris plus de
Le
Signé : MANGIN
A l'Ordre de
Régiment superbe de bravoure, d'ardeur et de résistance morale.
Le
Le
Signé :
MANGIN.
Le 29 juillet 1919, le Général FAYOLLE,
Commandant en chef des Armées françaises d'occupation, attachait au glorieux
drapeau du 168e, la
fourragère aux couleurs de
cours d'une revue passée sur « l'Elysenbrunnen » à Aix-la-Chapelle
A l'Ordre de l'Armée (N° 138) :
Dans des conditions particulièrement difficiles, la 3e Compagnie du 168e R.I., s'est emparé d'une série d'ouvrages ennemis, solidement établis sous bois et dans lesquels de nombreux prisonniers ont été faits. A repoussé trois contre-attaques successives.
Le
Signé : RIBERPRAY
A l'Ordre de l'Armée (N° 117) :
Sous la
conduite énergique du Capitaine EYRIES, la 6e Compagnie du 168e R.I. est entrée de vive force le 13
décembre, dans une tranchée allemande et s'y est maintenue sur un front de
Le
Signé : DUBAIL
Bois de Mortmare, tranchées formant saillant à l'est et à l'Ouest de la
voie ferrée de Toul à Thiaucourt
A l'Ordre de
Sous le commandement
du Capitaine MASSIE, s'est maintenue avec vigueur dans la première ligne d'un
centre de résistance, sousmis les 11, 12 et
Le
Signé : RIBERPRAY
A l'Ordre de
Sur l'appel de son
capitaine, s'est précipitée toute entière, en plein barrage français, sur un
ouvrage allemand fortement tenu et organisé et a pu ainsi en surprendre les
défenseurs. S'est emparé de 200 Allemands, dont 3 officiers, de 8 mitrailleuses
et d'un important matériel. A retourné immédiatement la position et s'y est retranchée
rapidement, prête à repousser toute tentative ennemie, facilitant ainsi la
progression voisine.
Le
Signé : SEGONNE
A l'Ordre de
Le
Le
Signé :
RIBERPRAY
A l'Ordre de
Sous le commandement du
Sous-Lieutenant VAUTHIEU, s'est maintenue avec vigueur dans la première ligne
d'un centre de résistance soumis, les 11, 12 et
Le
Signé : RIBERPRAY
A l'Ordre de
Le
Le
Signé : RIBERPRAY
A l'Ordre de
Sous la
direction énergique de son chef, le Lieutenant BOUCHAUD, a, pendant dix jours,
progressé de
Le
Signé : RIBERPRAY
A l'Ordre du 169e Régiment d'Infanterie.
Le Colonel ALLIER, commandant le 169e R.I., cite à l'Ordre du Régiment :
Le 2e bataillon du 168e R.I., qui, placé le 14 juillet sous ses
ordres, pour élargir une tête de pont, dont le 169e R.I.
s'était emparé, s'est sous l'énergique influence de son chef, le Capitaine
MEYER, dépensé sans compter, au prix des plus grands sacrifices, pour accomplir
sa mission.
Le
Signé : ALLIER.
A l'Ordre du Régiment (N° 167) :
Excellente Compagnie, modèle
de bravoure et de vaillance. Le
Le
Signé : MATHIEU
A l'Ordre du Régiment (N° 167) :
Aux affaires de Faverolles,
les 1er, 2 et
Les 2 et 3 juin, repostée en
lisière de Faverolles, a, sous le feu de l'ennemi, à courte distance, sans être
relevée malgré ses fatigues et ses pertes, assuré avec un inlassable dévouement
la garde du village.
Le
Signé : MATHIEU
La 1re Compagnie de mitrailleuses.
A l'Ordre du Régiment (N° 167) :
Unité d'élite,
qui, en toutes circonstances, sous le commandement du Lieutenant DUTHIL, s'est
acquitté de son devoir avec un grand dévouement et un bel esprit de sacrifice.
Les 1er et
Le
Signé : MATHIEU
A l'Ordre du Régiment (N° 58) :
S'étant trouvé cernée, elle
résista victorieusement aux attaques de l'ennemi et permit au restant de
Le
Signé : RIBERPRAY
5 citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
Le Général
Commandant
« Sous
l'ardente impulsion de son chef, le Lt-Colonel JACOB, a abordé le
« Contre-attaqué violemment, a brillamment repoussé toutes les tentatives de l'ennemi. A subi ensuite, pendant cinq jours, un bombardement ininterrompu sans rien perdre de son moral. Attaqué de nouveau, le 14, par des troupes fraiches et supérieures en nombre, a donné la preuve de son incomparable énergie et de sa ferme volonté de vaincre en trouvant encore, malgré ses pertes, le mordant nécessaire pour maitriser l'ennemi et lui reprendre intégralement le terrain momentanément perdu »
Le
Signé : Général GUILLAUMAT.
Le Général
Commandant
« Régiment
animé du plus bel esprit offensif et des plus solides qualités manœuvrières.
Pendant les journées critiques des 1er, 2 et
Le
Signé : Général MANGIN
Le Général
Commandant
« Régiment
superbe de bravoure, d'énergie et de résistance morale. Bien que fortement
éprouvé par de précédents combats, parti à l'attaque le
Le
Signé : Général MANGIN
Le Général
Commandant
l'ARMÉE, sous le N° 349, le 169e RÉGIMENT
d'INFANTERIE :
« Merveilleux
Régiment, qui sous l'énergique Commandement du Beau soldat qu'est le Colonel ALLIE,
a, dans la période du 6 au
Du 29 septembre au 12 Octobre, malgré les conditions matérielles extrêmement défavorables, malgré la supériorité d'artillerie ennemie et la résistance acharnée de l'Infanterie, a livré des combats incessants, toujours couronnés de succès, qui ont démoralisé l'adversaire et hâté son mouvement de repli »
Le
Signé :
Général MANGIN.
?
Le Général
Commandant
l'ARMÉE, sous le N° 677, le 169e RÉGIMENT d'INFANTERIE :
« Régiment
d'élite, à la superbe bravoure, à l'ardeur infatigable aux qualités
manœuvrières de premier ordre. Le
Toujours en
flèche, a conquis en 2 jours, sous le commandement de son chef le Colonel
ALLIE, en dépit de pertes sensibles plus de
Le
Signé : Général DEGOUTTE.
4 citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
Ordre Général N°195 du
Le Général Commandant
« A pris part à toutes les
grandes actions de la campagne depuis le
Officier Supérieur d'une
énergie et d'une bravoure à toute epreuve, s'est
emparé dans un élan magnifique d'une ligne de tranchées allemandes solidement
défendues, dans un secteur où l'artillerie ennemie faisait rage; s'est maintenu
sur la position conquise Jusqu'à ce qu'il fut relevé cinq Jours plus tard,
repoussant de furieuses contre-attaques et ne cédant pas un pouce de terrain. »
Signé : NIVELLE.
Ordre Général N° 399 du
« Le
A organisé et conservé le
terrain conquis en dépit des retours offensifs, et des violents bombardements
de l'ennemi. »
Signé : PAYOLLE
Ordre Général n°627 du
« Brillant régiment d'une
ténacité admirable, d’une endurance remarquable. Pendant quarante jours, sous
l'impulsion énergique du Lieutenant Colonel ÇHARLET a attaqué, sans répit et
malgré les pertes subies et la fatigue éprouvée, l'a refoulé sur une profondeur
Signé: DEGOUTTE
II obtenait la citation
suivante à l'ordre de
Ordre Général 1349 du
« Régiment d'élite, qui pour
la deuxième fois en trois mois vient d'affirmer ses qualités d'entrain;
d'endurance et de ténacité. Sous l'impulsion de son chef, le Lieutenant-Colonel
CHARLET, tué le troisième jour de l'attaque au milieu du bataillon de première
ligne, puis du Commandant de la FERRONNAYS, Adjoint au chef de Corps, a en
moins de soixante heures, les 26,27 et
Signé : GOURAUD
?
Le 3e bataillon du 170è R.I.
fut l’objet de la citation suivante :
Ordre Général N°617 de
« Sous les ordres du
Commandant de LAVERGNE, a livré, le
troupes fraîches, a conquis
tous ses objectifs, infligeant à l'ennemi de lourdes pertes, lui enlevant
35 prisonniers et 8
mitrailleuses. »
Signé: DEGOUTTE
le Bois du Croissant
Texte des citations ?
5 citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
Le 172ème régiment d’infanterie est cité à l’Ordre de
« S’est tout
particulièrement affirmé comme un régiment d’élite pendant les opérations du 16
au 20 mars, puis du 16 au
Le
« Le
Le
Pour marquer toute sa satisfaction le général MANGIN décide de transformer en citation à l’ordre de l’armée une partie des citations qui avaient été faites à l’ordre du XVIIIème corps d’armée.
CITATION DU 172ème RI. À L’ORDRE DE
(Ordre n° 349 en date du
« Magnifique régiment, sous
l’énergique et ferme commandement du lieutenant-colonel MICHAUD, a par une
pression active et constante déterminé la retraite de l’ennemi, combattu sans
arrêt du 15 au
Texte ?
Le
A la date du 1er mars 1919, le 172ème régiment d’infanterie est cité à l’Ordre de
« Sous le commandement du
lieutenant-colonel MICHAUD, après avoir, du 1er au
Les 7ème et 8ème compagnies sont citées le
IIème Armée, n° 303, dans les termes suivants :
« Le
Verdun, batterie de Damloup
A la date du
« Le
secteur de Bouchavesnes - Bois Labbé, Bois de l’Aiguille
Le
3ème bataillon est
cité à l’Ordre de la 127ème division, n° 306, dans les termes suivants :
« bataillon d’élite qui,
sous l’énergique impulsion du commandant DE LA BOULAYE, a poursuivi
vigoureusement les Allemands, leur enlevant de haute lutte, les 20 et
A la date du
Le
1er bataillon du 172ème régiment d’infanterie, sous les ordres du capitaine Edmond MARCHAND :
“Le
Le
2ème bataillon du 172ème régiment d’infanterie, sous les ordres du chef d’escadron DE
PENFENTENYO DE KERVEREGUIN :
“Le
A la date du
« Le 1er bataillon du 172ème régiment d’infanterie, sous les ordres du
commandant de FORGES, au moment du repli des troupes allemandes, n’a pas hésité
à se jeter à la poursuite de l’ennemi, le talonnant étroitement et a par son
initiative, son entrain et sa bravoure, assuré la possession d’une étendue de
terrain considérable et permis la progression rapide des autres éléments de la
division. »
position du Pont-Rouge
A la date du
« Dans les combats du 16 au
A la date du
« Le
A la date du
« Sous les ordres du
lieutenant NAUROY, a fait preuve, au cours des combats du 18 au 28 mars, d’un
courage et d’une énergie tout à fait remarquables. S’est particulièrement
distingué le 18 mars en préparant pour l’infanterie et la cavalerie, à travers
un terrain bouleversé et hérissé de réseaux, un passage qui a permis la
poursuite de l’ennemi, et les 22, 23 et 24 mars en organisant, sous le feu de
l’artillerie, les positions qui venaient d’être enlevées. »
Texte
des citations ?
« Sous le commandement du Colonel Bizard a atteint d’un seul élan le sommet de la côte du Poivre (cote 342) fortement organisé et tenu par l’ennemi ; son objectif atteint a poursuivi sa marche en avant, nettoyant les abris, détruisant 11 canons, ramenant plus de 600 prisonniers, 10 mitrailleuses et 4 minenwerfer »
Merci à Agnès pour l’ajout
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
Le 174e R.I. reçoit le
ORDRE DE
« Sous l’impulsion de Lieutenant-Colonel DUBOIS, chef énergique, brave, et d’un remarquable sang-froid au lendemain d’une attaque qui lui avait permis de prendre pied dans un fortin puissamment défendu, a résisté, sans perdre un pouce de terrain, à plusieurs assauts successifs et violents, précédés d’une violente préparation d’artillerie, qui avait détruit ses défenses accessoires et nivelé ses tranchées : a fait subir à l’ennemi des pertes sérieuses.
S’est toujours distingué par son endurance et sa grande bravoure, dans de nombreuses affaires auxquelles il a prit part. »
ORDRE DE
« Régiment valeureux, aussi persévérant que mordant, appelé à participer à l’offensive après 48 jours consécutifs d’occupation de secteur a, sous la direction énergique et féconde de son chef, le Lieutenant-Colonel DE MISCLAULT, mené pendant trois jours d’abord, puis une deuxième fois, un combat acharné où il a déployé toutes ses qualités d’audace et de ténacité. Du 26 au 29, malgré les défenses accessoires accumulées et le terrain bouleversé par le bombardement depuis quatre ans, a brisée la résistance désespérée de l’ennemi, s’emparant des organisations formidables de la butte de SOUAIN, et de la 2e position :
Ramené au combat dans la nuit du 2 au 3 octobre, il attaque le lendemain au jour avec la même ardeur, refoulant l’ennemi à travers un terrain boisé, raviné, parsemé de réseaux et littéralement farci de mitrailleuse et parvient à prendre pied sur la crête d’ORFEUIL, à la ferme de MÉDÉAH.
Au cours de
ces quatre journées de bataille acharnée il progresse de
Le Général
MAISTRE, devant le premier bataillon et des détachements de la 167e D.I. remet au drapeau du Régiment
Texte des citations ?
Texte des citations ?